Pour atteindre les playoffs 1, le Standard, Gand et Ostende devront faire mieux
Photo: © photonews
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Avec un bilan de 20 points sur 45, le Standard n'a pas réussi le premier tour souhaité. Et s'il y a du mieux dans la mentalité et le jeu, le Standard aura besoin d'un bien meilleur bilan au second tour pour espérer jouer les Playoffs 1.
Le Standard, Ostende et la Gantoise sont dans des positions similaires: ils visaient les playoffs 1, ils ne sont pas dans le top 6 à mi-championnat. Rédhibitoire? Non, évidemment, mais ils vont devoir faire mieux dans les 15 rencontres à venir, c'est une certitude.
La lutte pour les playoffs sera peut-être plus ouverte que jamais: entre Saint-Trond, quatrième et Mouscron, onzième, il n'y a que... 5 petites unités. Un écart infime qui incite ceux qui ont manqué leur départ à y croire, encore et toujours. Même Ostende, relégué à sept unités du sixième, Genk, peut encore rêver d'accrocher le bon wagon d'ici le mois de mars.
Minimum 41 points, souvent 49 ou 50
Mais pour y arriver, il faudra faire beaucoup mieux qu'au premier tour. A mi-parcours, le Standard n'a que 20 points, la Gantoise 19 et Ostende 15. Dans l'histoire des playoffs, jamais une équipe n'a accroché le top 6 avec moins de 41 points.
Logique dès lors de voir, qu'avec un tel bilan, ces équipes se retrouvent hors du top 6. D'ailleurs 41 points, c'est le minimum et ce n'est arrivé qu'une seule fois: en 2010. Bien souvent, il faut atteindre 49 points (2011, 2015 et 2017) voire même 50 points pour espérer jouer les playoffs 1. Et il en fallait 43 en 2016 et 45 en 2014.
Etant donné la densité et le nombre d'équipes qui vont se disputer les six places en playoffs 1 cette saison, on peut penser que le total de points du sixième à la fin de la phase classique sera un légèrement inférieur à cette barre de 49 points. Mais difficile, malgré tout, d'imaginer un club finir la phase classique avec seulement 40 points dans sa besace.
Le Standard, Gand et Ostende savent ce qui les attend, il faudra redresser la barre pour jouer avec les meilleurs en fin de saison.
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