Genk assure l'essentiel
Photo: © SC
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Genk a signé une courte victoire face au Partizan (2-1). Une victoire laborieuse obtenue face à 10 joueurs serbes, mais une précieuse victoire tout de même.
Le match aller du troisième tour préliminaire de la Champion's League entre Genk et le Partizan de Belgrade fut loin d'être un grand moment de football. Les champions de Serbie étaient venus pour prendre un point. Et les Limbourgeois semblaient avoir pour mission première de ne pas encaisser de but. A la demi-heure, Anele prenait un carton rouge qui mettait les champions de Belgique en posture délicate.
Aussi, la première mi-temps fut soporifique, stéréotypée et triste à voir comme un jour de pluie. La seconde mi-temps débuta cependant par une petite étincelle : l'exclusion de Babovic qui recevait son second carton jaune pour un tacle tardif sur Pudil.
Pourtant, Genk n'en profita pas, englué dans une amorphie étonnante, craignant davantage les contre-attaques des Serbes que misant sur une égalité numérique enfin rétablie. Aussi, à la 65 ème minute, le Partizan sanctionna le football emprunté de Genk. Tomic récupéra dans le rectangle limbourgeois un second ballon pour le propulser au fond des filets de Koteles (0-1).
La douche était froide pour les hommes de Franky Vercauteren qui eurent néanmoins le bont ton de réagir immédiatement. Sur un long ballon balancé en avant, Pudil pénétra dans le rectangle avant de se faire bousculer par Tomic. L'arbitre grec, monsieur Koukoulakis n'hésita pas et siffla un penalty que Jelle Vossen convertit imparablement (1-1). On jouait depuis 69 minutes.
Toutefois ces deux actions s'apparentèrent à un feu de paille. Et la partie de retomber dans ses travers d'imprécisions et de longs ballons, de jeu sans liant, de faux rythme qui faisaient le bonheur du Partizan.
A cinq minutes de la fin, Franky Vercauteren se décida alors de faire monter Marvin Ogunjimi au jeu à la place de Jelle Vossen. Sur son premier ballon, à la 91 ème minute, le Diable rouge lobbait Stojkovic pour inscrire le but d'une précieuse victoire.
Genk se déplacera la semaine prochaine à Belgrade nanti d'un petit viatique. Il pourrait toutefois suffire. Car ce Partizan n'a rien d'un foudre de guerre.
Aussi, la première mi-temps fut soporifique, stéréotypée et triste à voir comme un jour de pluie. La seconde mi-temps débuta cependant par une petite étincelle : l'exclusion de Babovic qui recevait son second carton jaune pour un tacle tardif sur Pudil.
Pourtant, Genk n'en profita pas, englué dans une amorphie étonnante, craignant davantage les contre-attaques des Serbes que misant sur une égalité numérique enfin rétablie. Aussi, à la 65 ème minute, le Partizan sanctionna le football emprunté de Genk. Tomic récupéra dans le rectangle limbourgeois un second ballon pour le propulser au fond des filets de Koteles (0-1).
La douche était froide pour les hommes de Franky Vercauteren qui eurent néanmoins le bont ton de réagir immédiatement. Sur un long ballon balancé en avant, Pudil pénétra dans le rectangle avant de se faire bousculer par Tomic. L'arbitre grec, monsieur Koukoulakis n'hésita pas et siffla un penalty que Jelle Vossen convertit imparablement (1-1). On jouait depuis 69 minutes.
Toutefois ces deux actions s'apparentèrent à un feu de paille. Et la partie de retomber dans ses travers d'imprécisions et de longs ballons, de jeu sans liant, de faux rythme qui faisaient le bonheur du Partizan.
A cinq minutes de la fin, Franky Vercauteren se décida alors de faire monter Marvin Ogunjimi au jeu à la place de Jelle Vossen. Sur son premier ballon, à la 91 ème minute, le Diable rouge lobbait Stojkovic pour inscrire le but d'une précieuse victoire.
Genk se déplacera la semaine prochaine à Belgrade nanti d'un petit viatique. Il pourrait toutefois suffire. Car ce Partizan n'a rien d'un foudre de guerre.
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