Saint-Trond sort lentement de sa mauvaise période mais "le sportif et le financier ne sont pas encore en équilibre."
Photo: © photonews
Depuis la reprise de l'entreprise japonaise DMM, un vent nouveau souffle sur Saint-Trond. Le club ne cache pas qu'il a de grandes ambitions, mais les Limbourgeois doivent aussi faire face à une grande montagne de dettes. Malgré tout, la situation semble s'améliorer.
"Nous devons nous débarrasser de nos dettes avant de pouvoir faire des bénéfices. Il faut d'abord le faire", explique le grand patron Takayuki Tateishi à Het belang van Limburg. "Si nous commençons à faire des bénéfices, nous pourrons notamment investir dans un nouveau complexe sportif."
Les dettes ont été ramenées à quatre millions d'euros grâce à la vente de certains joueurs et au soutien financier du Japon. "Tout se passe bien, mais pour l'instant, le sport et les finances ne sont pas encore en équilibre. Pas moins de 70% vont à la partie financière. À long terme, il faudra que ce soit 50/50."
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