L'anecdote folle de l'ancien directeur sportif de Tedesco à Schalke 04 : "Il l'a prédit, je n'avais jamais vu ça"

L'anecdote folle de l'ancien directeur sportif de Tedesco à Schalke 04 : "Il l'a prédit, je n'avais jamais vu ça"
Photo: © photonews
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Nos confrères allemands du BILD ont parlé à Christian Heidel, le directeur sportif de Schalke 04 lorsque Tedesco a mené le club en Ligue des Champions. Heidel déclare qu'il est toujours impressionné par la méthode de travail de Tedesco.

Le BILD publie, aujourd'hui, un grand article sur l'entraîneur de l'équipe nationale belge, Domenico Tedesco. Le journal allemand a parlé avec Christian Heidel, directeur sportif de Schalke 04 lorsque Tedesco a ramené le club en Ligue des Champions. Heidel, qui a également lancé Jürgen Klopp et Thomas Tuchel, donne un aperçu de la manière de travailler de Tedesco.

La tactique et la vision de jeu de Tedesco ont impressionné

Tout comme à la fédération belge de football, Tedesco a impressionné par sa connaissance tactique et sa vision du jeu. "Lors de notre première réunion secrète avant sa nomination, il a expliqué pendant cinq heures ce que représente 'son' football", raconte Heidel.

"En termes de minutie, il me rappelait un peu Tuchel : ses deux principes principaux sont la discipline et la ponctualité. Avant même que notre entretien ne se termine, j'ai su que je voulais l'avoir comme entraîneur."

Heidel l'a aussi vu faire des interventions impressionnantes. "Lors d'un derby contre Dortmund, nous étions menés 4-0 à la mi-temps. Dans le vestiaire, tout le monde devait s'asseoir par terre et regarder Domenico."

"Il leur a expliqué ce qui allait se passer et a prédit le déroulement de la seconde mi-temps. Et cette prédiction s'est presque entièrement réalisée : le score est devenu 4-4. Je n'ai jamais rien vu de tel."

C'est ce zèle qui fait de lui un si bon entraîneur"

Même en périodes difficiles à Schalke et à Leipzig, Heidel n'avait aucun doute sur ses capacités. "La seule chose qui me préoccupait parfois, c'est qu'il travaillait peut-être trop dur. À Schalke, il était chaque jour au bureau à 7h30 pour analyser les adversaires et préparer les entraînements."

"Mais quand les choses allaient mal sur le terrain, il prenait cela personnellement. Vous pouviez littéralement voir le stress sur son visage. Eh bien, finalement, c'est ce zèle qui fait de lui un si bon entraîneur."

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