Epolo, Simic, Delorge, Stroeykens et bien d'autres : des joueurs de Pro League parmi les plus grands espoirs mondiaux, à chaque poste ou presque

Dans son 98e rapport mensuel, publié ce lundi, l'observatoire du football CIES s'est intéressé aux performances des joueurs U21 aux quatre coins du Monde. En fonction de leurs positions, ceux-ci ont été divisés en plusieurs catégories. 

Pour les gardiens, par exemple, deux grandes catégories ont été créées. Ceux dont la longueur des relances est inférieure à la moyenne, et ceux dont la longueur des relances est supérieure à la moyenne. Les gardiens qui ont l'habitude de relancer court ou long, globalement. 

Si l'on ne compte pas de gardien belge ou de Pro League dans le top 10 de la première catégorie (Mike Penders est 17e en 'jeu court'), ils sont plusieurs dans le jeu long. A commencer par Matthieu Epolo, qui serait le 4e meilleur gardien U21 au Monde ayant plutôt l'habitude de relancer long. Une statistique qui va de pair avec le style de jeu mis en place par Ivan Leko, évidemment. A ce petit jeu, Martin Delavallée (Charleroi) se classe 12e. 

En Pro League, le talent est omniprésent

Les défenseurs centraux ont aussi été divisés en plusieurs (3) catégories : ceux dont l'apport défensif est le plus important, ceux dont le rapport défense/attaque est équilibré et ceux qui participent davantage à la construction du jeu qu'à la récupération.

En "full defense", Matte Smets serait le 3e meilleur défenseur central U21 au Monde, tandis que Joel Ordonez se classe 2e de la catégorie "intermédiaire", juste devant Jan-Carlo Simic, décrit comme un profil ressemblant fort à celui de Pau Cubarsi, du Barça, qui occupe la première place de cette catégorie. Dans les défenseurs centraux dits "de construction", Luka Vuskovic (Westerlo) est 2e, Jorne Spileers 19e. 

Aux autres positions, on retrouve plusieurs joueurs belges ou de Pro League, comme Matteo Dams, Kobe Corbanie, Joaquin Seys, Nikolas Sattleberger, Mathias Delorge, Roméo Lavia, Mario Stroeykens, Konstantinos Karetsas et bien d'autres. Consultez le rapport complet du CIES ICI.