Steven Defour : "J'aime marquer à Bruges !"
Photo: © photonews
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Dimanche soir, le Sporting d'Anderlecht a livré une bonne première période sur la pelouse du Cercle de Bruges, avant gérer son avance après le repos. Mais à cinq minutes du terme, la frappe de Steven Defour a définitivement scellé les trois points pour les Mauves (0-2).
À Bruges, Edgar Makanga
"Nous avons affiché la bonne mentalité ce dimanche soir. Et dans ces cas-là, la qualité individuelle du Sporting s'exprime", expliquait Steven Defour, dans la mixed zone du Jan Breydelstadion.
"En seconde période, certes, nous avons laissé venir le Cercle dans notre camp. Cependant, les Brugeois n'ont pas forcément été dangereux devant le but. Naturellement, il s'agit encore d'un point de travail."
À cinq minutes du terme, la frappe de Steven Defour a définitivement scellé les trois points pour le RSCA.
"Il s'agit d'un but important qui a permis de plier la rencontre. J'aime marquer à Bruges", souriait le médian, qui avait déjà inscrit un but à l'Olympiapark, le 31 août dernier, face au Club de Bruges (2-2).
Et justement, en parlant des Blauw en Zwart : les Mauves réalisent la bonne opération du jour en réduisant leur écart sur le leader du classement. À cinq journées du terme de la phase classique, le Club de Bruges (51 points) ne possède plus que quatre unités d'avance sur Anderlecht (47 points).
"Tant mieux si on peut se rapprocher du Club d'ici la fin du championnat. C'est toujours mieux de commencer les playoffs 1 devant que derrière", ajoutait un Steven Defour heureux de la prestation de son équipe. "Personne n'a rien lâché, tout le monde a joué à un haut niveau. Les blessés reviennent au fur et à mesure et la concurrence redevient importante. Désormais, c'est à l'entraîneur d'effectuer ses choix."
J'entretiens mon portugais avec Rolando"
Le Diable Rouge est également revenu sur la récente de Rolando, le défenseur international portugais de 29 ans. Les deux joueurs s'étaient côtoyés lorsque notre interlocuteur évoluait au FC Porto.
"À Porto, il m'avait accueilli en parlant français avec moi. Aujourd'hui, c'est moi qui l'accueille en portugais à Anderlecht. Cela me permet d'entrenir cette langue", souriait Steven Defour.
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