Cédric Fauré : "Medhi Bayat m'a manqué de respect"

C'est à Kick and Rush Magazine que l'on doit cette interview coup de poing de l'ancien attaquant des Zèbres. A 36 ans, le Toulousain a décidé de se relancer du côté de l'Union Saint-Gilloise, comme il l'a confié à David Dessouroux.

L’histoire avec Charleroi s’est mal terminée. Comment avez-vous vécu cette séparation ?
Je tiens d’abord à dire qu’avec Charleroi, je me suis éclaté. Le staff technique et les supporters étaient contents de moi. Si ça ne tenait qu’à eux, je pense d’ailleurs que je serais toujours  au Sporting de Charleroi aujourd’hui. Maintenant, là où je l’ai toujours en travers de la gorge, c’est que l’on m’a promis beaucoup sans au final tenir parole. On n’a pas eu le courage de me dire en face que c’était terminé entre nous. C’est par téléphone que l’on m’a annoncé que le club ne comptait plus sur moi. Je pense que je méritais un peu mieux que cela...

Quand vous dites "on", vous faites allusion à qui ?
Je parle du directeur général, Mehdi Bayat. Il m’a dit énormément de choses lors du dernier stage hivernal. Notamment : "Ne t’inquiète pas, je vais te proposer quelque chose de bien." La suite ? Il ne m’a plus calculé pendant trois mois. Je suis déçu car on s’était serré la main avec une parole derrière. Mais bon, c’est le milieu du foot... Je ne suis donc qu’à moitié surpris. Et quand j’entends parler de transparence entre la direction et les joueurs, cela me fait sourire.

Pour découvrir la suite de l'interview, c'est dans le dernier numéro de Kick and Rush Magazine.