Adnan Januzaj déchaîne les passions

A la lueur de ce qui a pu être écrit/lu/entendu depuis déjà quelques semaines, voire quelques mois, il nous a paru nécessaire de découvrir Adnan Januzaj par le biais de personnes l’ayant côtoyé en Belgique lors de ses études à l’Athénée royal de Jette…

« Un élève calme, souriant et parfois malicieux qui parlait de foot mais rarement de lui… j’ai d’ailleurs été très surpris lorsqu’il m’a annoncé qu’il allait ne pas pouvoir présenter ses examens  pour cause d’un départ. Oui je savais qu’il jouait au RSCA mais quant à imaginer qu’il était en partance pour Manchester…  Il est d’ailleurs resté très humble devant cette histoire et, à son arrivée sur place, il m’a envoyé un porte-clé de Manchester en souvenir…  Maintenant, je le suis sur les réseaux sociaux… ».

« C’est en effet le souvenir que j’ai de ce garçon talentueux et tout ce que l’on peut lire dans la presse sur son éventuel refus et/ou des conditions qu’il mettrait pour jouer en équipe nationale belge m’attristent un peu car cela ne ressemble en rien à l’image de la famille… » 

« Laissons-lui le choix de décider en son âme et conscience. Ses parents l’entourent comme il se doit; ils savent donc, mieux que quiconque, ce qu’il y a lieu de faire. Le déchaînement d’amour et surtout de haine vis-à-vis des déclarations qui auraient été faites (mais par qui ?) ne changera rien »...nous affirme un de ces anciens professeurs.

Quant à ses anciens condisciples à l’Athénée Royal de Jette, ils sont unanimes ; Adnan est toujours resté humble et il n’y a pas de raison que cela ait changé

Un choix engendre de toute façon des « pour » et des « contres ». Sans doute que ceux qui le vouent aux enfers aujourd’hui seront peut-être les premiers à l’encenser demain et inversement.