Le billet de Dupk : Jova et le Sporting jouent au poker
Photo: © SC
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Les négociations entre le Sporting d'Anderlecht et le clan Jovanovic ont tous les ingrédients d'une belle partie de poker. Mais les mauves disposent probablement des plus belles cartes.
Une table et deux groupes de joueurs qui s'affrontent pour espérer tomber finalement dans les bras l'un de l'autre et se jurer amour éternel. Voilà à peu près le tableau des négociations en cours entre le Sporting d'Anderlecht et Milan Jovanovic.
Côté mauve, on joue cartes sur table. Une mise a été faite. Elle est belle. Elle est solide. Elle n'a quasiment pas son pareil en Belgique. Le Sporting propose de fait un contrat à la Bulykin à Milan Jovanovic. Il ne peut faire plus. Et il ne doit certainement pas faire plus.
Il ne peut faire plus sous peine de mettre le fragile équilibre financier du club en péril. Car ces dernières saisons, le Sporting a beaucoup dépensé et il a peu encaissé. Car c'est pas folichon dans la colonne des ventes, exceptions faites de Jelle Van Damme et bien sûr de Mbark Boussoufa. Néanmoins pour un club qui est devant un chantier du stade coûteux.
Mais par ailleurs, même si cela reste un pari, la direction des mauves sait aussi pertinemment que Milan Jovanovic est le roi des bluffeurs. Le joueur a un soulier d'Or, mais aussi une calculette en or dans la poche. Il aime jouer gros, comme il l'a fait l'an dernier.
Sauf qu'il n'est plus tout à fait dans la même situation qu'au moment où il a voulu quitter le Standard. L'année dernière en effet, il restait sur une belle saison. En juillet 2011, il sort d'une saison passée sur le banc d'Anfield Road.
Il a beau affirmer qu'il dispose d'autres pistes en Allemagne et en Espagne, contrairement aux idées reçues, peu de clubs sont disposés à payer le salaire proposé par le Sporting pour un joueur trentenaire qui n'a quasiment plus joué depuis 8 mois.
Tout indique donc que l'international serbe signera au Sporting d'Anderlecht. 3,5 millions d'euros sur trois ans, plus une coquette indemnité de séparation à l'amiable de Liverpool devraient suffire à son bonheur.
Et à notre bonheur d'amateurs de beaux joueurs qui apportent un plus à la Jupiler League.
Côté mauve, on joue cartes sur table. Une mise a été faite. Elle est belle. Elle est solide. Elle n'a quasiment pas son pareil en Belgique. Le Sporting propose de fait un contrat à la Bulykin à Milan Jovanovic. Il ne peut faire plus. Et il ne doit certainement pas faire plus.
Il ne peut faire plus sous peine de mettre le fragile équilibre financier du club en péril. Car ces dernières saisons, le Sporting a beaucoup dépensé et il a peu encaissé. Car c'est pas folichon dans la colonne des ventes, exceptions faites de Jelle Van Damme et bien sûr de Mbark Boussoufa. Néanmoins pour un club qui est devant un chantier du stade coûteux.
Mais par ailleurs, même si cela reste un pari, la direction des mauves sait aussi pertinemment que Milan Jovanovic est le roi des bluffeurs. Le joueur a un soulier d'Or, mais aussi une calculette en or dans la poche. Il aime jouer gros, comme il l'a fait l'an dernier.
Sauf qu'il n'est plus tout à fait dans la même situation qu'au moment où il a voulu quitter le Standard. L'année dernière en effet, il restait sur une belle saison. En juillet 2011, il sort d'une saison passée sur le banc d'Anfield Road.
Il a beau affirmer qu'il dispose d'autres pistes en Allemagne et en Espagne, contrairement aux idées reçues, peu de clubs sont disposés à payer le salaire proposé par le Sporting pour un joueur trentenaire qui n'a quasiment plus joué depuis 8 mois.
Tout indique donc que l'international serbe signera au Sporting d'Anderlecht. 3,5 millions d'euros sur trois ans, plus une coquette indemnité de séparation à l'amiable de Liverpool devraient suffire à son bonheur.
Et à notre bonheur d'amateurs de beaux joueurs qui apportent un plus à la Jupiler League.
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