Les bons mots de Bill Shankly
Photo: © SC
Qui ne connait son célèbre "Certaines personnes pensent que le football est une question de vie ou de mort. Je trouve ça choquant. Je peux vous assurer que c'est bien plus important que ça." Mais l'ancien coach de Liverpool a sorti bien d'autr
Voici quelques-unes de ses plus belles citations :
"La pression, c'est travailler à la mine. La pression, c'est être au chômage. La pression, c'est d'essayer d'éviter la relégation pour 50 shillings par semaine. Cela n'a rien à voir avec la Coupe d'Europe ou la finale de la Cup. Ça, c'est la récompense."
"On me disait que nous étions prévisibles. A quoi bon être imprévisible ? Joe Louis était prévisible. Vous saviez qu'il allait mettre son adversaire au tapis. Ce n'est pas plus compliqué que ça ! Nous étions peut-être prévisibles, mais personne n'a trouvé la solution pour nous battre."
“En football, tout se joue dans la tête. Il faut se croire le meilleur et tout faire pour prouver qu'on a raison. Quand j'étais à Anfield, je disais toujours que nous avions les deux meilleures équipes de la ville : Liverpool et la réserve de Liverpool."
“Si Everton jouait dans mon jardin, je tirerais les rideaux.”
"Même la maladie ne m'aurait pas empêché de suivre ce match. Si j'étais mort, j'aurais demandé à ce qu'on amène le cercueil au stade, qu'on le pose près du banc et qu'on fasse un trou dans le couvercle."
"Dans un club de football, il y a une sainte trinité : les joueurs, le manager et les supporters. Les présidents n'ont rien à voir là-dedans. Ils sont juste là pour signer les chèques."
"Ma vision du communisme n'a pas grand-chose à voir avec la politique. C'est un art de vivre. C'est de l'humanisme. Je crois que le seul moyen d'y arriver dans la vie, c'est l'effort collectif. Il faut que chacun soit prêt à travailler pour l'autre, il faut s'entraider pour que chacun retire les bénéfices de l'action commune au bout du compte. J'en demande peut-être beaucoup mais c'est la façon dont je vois le football et dont je vois la vie."
J'étais le meilleur à mon époque et j'aurais dû gagner plus de titres. Mais je n'ai jamais eu recours à la fourberie. Je donnais toujours le maximum. Si j'avais joué contre ma femme, je lui aurais cassé la jambe pour gagner mais je ne l'aurais jamais prise en traître."
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot