Kabangu, la direction du RCSV rectifie le tir
Photo: © SC
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Le RCS Verviers nous a fait parvenir un communiqué pour répondre aux dires du joueur dans la presse
Jaali Kabangu a récemment critiqué la direction du RCS Verviers dans plusieurs médias suite à son licenciement. Celle-ci tient à rétablir la vérité.
La décision de libérer Kabangu a été prise le mercredi 22 décembre en soirée et lui a été communiquée par le team manager dès le lendemain matin. Il est donc impossible qu’ un de ses équipiers ait pu le lui annoncer deux jours avant comme il le prétend. Depuis la reprise du club, la nouvelle direction a placé le respect des joueurs en haut de ses priorités. Ils sont payés chaque mois avant l’heure et tous peuvent confirmer que toutes les promesses sont toujours tenues. Kabangu multiplie les sorties médiatiques : s’il avait utilisé toute cette énergie pour venir aux entraînements, à l’heure et pour travailler sa condition, il n’en serait pas où il est. Kabangu n’a pas donné signe de vie à son entraîneur pendant un mois et n’est jamais venu supporter ses collègues aux matches de l'équipe première , autant d'attitudes contraire aux termes de son contrat et du règlement d'ordre intérieur.
Il y a donc eu rupture de contrat de sa part d'autant que le club lui a versé entièrement tous ses émoluments dus. S’en prendre aux dirigeants, tous bénévoles, est plus facile que de reconnaître ses erreurs. Les mensonges publics de Kabangu ne peuvent rester sans réaction, par respect pour les autres joueurs qui ont continué à travailler dur dans des conditions hivernales pénibles.
La décision de libérer Kabangu a été prise le mercredi 22 décembre en soirée et lui a été communiquée par le team manager dès le lendemain matin. Il est donc impossible qu’ un de ses équipiers ait pu le lui annoncer deux jours avant comme il le prétend. Depuis la reprise du club, la nouvelle direction a placé le respect des joueurs en haut de ses priorités. Ils sont payés chaque mois avant l’heure et tous peuvent confirmer que toutes les promesses sont toujours tenues. Kabangu multiplie les sorties médiatiques : s’il avait utilisé toute cette énergie pour venir aux entraînements, à l’heure et pour travailler sa condition, il n’en serait pas où il est. Kabangu n’a pas donné signe de vie à son entraîneur pendant un mois et n’est jamais venu supporter ses collègues aux matches de l'équipe première , autant d'attitudes contraire aux termes de son contrat et du règlement d'ordre intérieur.
Il y a donc eu rupture de contrat de sa part d'autant que le club lui a versé entièrement tous ses émoluments dus. S’en prendre aux dirigeants, tous bénévoles, est plus facile que de reconnaître ses erreurs. Les mensonges publics de Kabangu ne peuvent rester sans réaction, par respect pour les autres joueurs qui ont continué à travailler dur dans des conditions hivernales pénibles.
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