Nicaise : "Au Standard, il y avait des bagarres tous les 15 jours"
Photo: © SC
Deviens fan de Lierse SK! 734
Benjamin Nicaise admet qu'il a eu une mauvaise réaction jeudi. Mais il réfute la version à sens unique imposée dans les médias par le Lierse.
Benjamin Nicaise a une énorme qualité. Il a la langue de chair et pas celle de bois, du bois dont on fait les cercueils de la passion du foot. S'il admet que son geste réflète sa frustration du moment, il s'indigne également que son club ne propose qu'une seule version de l'incident sans qu'on l'ait entendu.
Dans le Nieuwsblad, le joueur s'explique. "Personne ne sait quelles insultes Radzinski m'a balancées à la figure. Depuis que je suis au Lierse, il ne m'a encore jamais dit que trois mots : bonjour, au revoir et fuck off! Il ne le fait d'ailleurs pas qu'avec moi mais aussi avec d'autres joueurs. Apparemment, il croit qu'il peut tout se permettre parce qu'il a joué dans de grands clubs. Mais moi, j'ai trente ans et je ne me laisse pas marcher sur les pieds".
Puis, l'ancien Montois de relativiser l'incident qui, selon lui, est monnaie courante dans le football. "J'entends tout le monde dire qu'ils n'avaient encore jamais vu ça. Mais c'est de la foutaise. Ce genre d'incident se passe dans chaque club, dans toutes les divisions. C'est typique d'un club qui est sous pression. L'année où le Standard fut champion, au cours des trois derniers mois, il y avait des bagarres tous les quinze jours".
Avant de conclure : "Je ne suis pas une pomme pourrie. Je n'ai moi jamais levé le pied pour foutre l'entraineur à la porte. Si je réintègre le groupe lundi, je tendrai la main à tout le monde. Egalement à Tomasz Radzinski. Et s'il ne l'accepte pas, tant pis... Je suis assez pro que pour pouvoir jouer dans la même équipe qu'un type comme ça".
Dans le Nieuwsblad, le joueur s'explique. "Personne ne sait quelles insultes Radzinski m'a balancées à la figure. Depuis que je suis au Lierse, il ne m'a encore jamais dit que trois mots : bonjour, au revoir et fuck off! Il ne le fait d'ailleurs pas qu'avec moi mais aussi avec d'autres joueurs. Apparemment, il croit qu'il peut tout se permettre parce qu'il a joué dans de grands clubs. Mais moi, j'ai trente ans et je ne me laisse pas marcher sur les pieds".
Puis, l'ancien Montois de relativiser l'incident qui, selon lui, est monnaie courante dans le football. "J'entends tout le monde dire qu'ils n'avaient encore jamais vu ça. Mais c'est de la foutaise. Ce genre d'incident se passe dans chaque club, dans toutes les divisions. C'est typique d'un club qui est sous pression. L'année où le Standard fut champion, au cours des trois derniers mois, il y avait des bagarres tous les quinze jours".
Avant de conclure : "Je ne suis pas une pomme pourrie. Je n'ai moi jamais levé le pied pour foutre l'entraineur à la porte. Si je réintègre le groupe lundi, je tendrai la main à tout le monde. Egalement à Tomasz Radzinski. Et s'il ne l'accepte pas, tant pis... Je suis assez pro que pour pouvoir jouer dans la même équipe qu'un type comme ça".
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot