Interview Perbet: "Tubize ne me mettra pas de bâtons dans les roues"
Photo: © SC
Deviens fan de Tubize! 58
L'attaquant tubizien a retrouvé le chemin des filets. Il a marque lors des deux derniers matches pour porter son total à treize.
Jérémy Perbet, avec deux buts en deux sorties, vous êtes de retour au meilleur de votre forme?
"Je me sens mieux après un passage difficile. C'est la preuve que tout peut aller très vite en football. Je n'avais jamais réellemet perdu confiance mais j'étais fort déçu de ne plus pouvoir m'exprimer sur le terrain et de voir que les défaites s'accumulaient."
Comment expliquer ce retour au premier plan?
"Je n'ai pas d'explication particulière. Peut-être un petit coup de pouce du destin... Par exemple, sur ma première balle lors de ma montée au jeu face à Charleroi, le ballon rentre. Et puis, la raison est avant tout à chercher dans le collectif. Ce n'est pas pour rien qu'on a tous traversé une période difficile au même moment."
Vous voilà libéré alors que la saison se termine. N'est-il pas trop tard?
"Oui. Malheureusement. Car pour le maintien on sait tous que cela est désormais impossible. On veut simplement essayer de terminer la saison du mieux qu'on peut. Chacun a d'ailleurs intérêt à se montrer."
Quid de votre avenir?
"Je suis venu à Tubize pour me relancer. Dès le début, les dirigeants m'ont dit qu'ils ne me mettraient pas de bâtons dans la roue si un club venait me chercher. En janvier, j'étais d'accord de rester jusqu'au terme de la saison. Même si mon option a été levée, cela ne change pas grand-chose. J'ai confiance en leur parole comme eux ont eu confiance en moi lorsqu'ils sont venus me chercher alors que je sortais de blessure."
Anderlecht vient à Tubize dimanche. On se souvient de votre but à l'aller.
"Le plus beau de ma saison, certainement. Dans ce genre de geste, il faut 100% de réussite. Ce fut le cas. Mais ce n'est pas la première fois que j'essaye à distance. Je sais que les gardiens ont parfois tendance à trop s'avancer."
"Je me sens mieux après un passage difficile. C'est la preuve que tout peut aller très vite en football. Je n'avais jamais réellemet perdu confiance mais j'étais fort déçu de ne plus pouvoir m'exprimer sur le terrain et de voir que les défaites s'accumulaient."
Comment expliquer ce retour au premier plan?
"Je n'ai pas d'explication particulière. Peut-être un petit coup de pouce du destin... Par exemple, sur ma première balle lors de ma montée au jeu face à Charleroi, le ballon rentre. Et puis, la raison est avant tout à chercher dans le collectif. Ce n'est pas pour rien qu'on a tous traversé une période difficile au même moment."
Vous voilà libéré alors que la saison se termine. N'est-il pas trop tard?
"Oui. Malheureusement. Car pour le maintien on sait tous que cela est désormais impossible. On veut simplement essayer de terminer la saison du mieux qu'on peut. Chacun a d'ailleurs intérêt à se montrer."
Quid de votre avenir?
"Je suis venu à Tubize pour me relancer. Dès le début, les dirigeants m'ont dit qu'ils ne me mettraient pas de bâtons dans la roue si un club venait me chercher. En janvier, j'étais d'accord de rester jusqu'au terme de la saison. Même si mon option a été levée, cela ne change pas grand-chose. J'ai confiance en leur parole comme eux ont eu confiance en moi lorsqu'ils sont venus me chercher alors que je sortais de blessure."
Anderlecht vient à Tubize dimanche. On se souvient de votre but à l'aller.
"Le plus beau de ma saison, certainement. Dans ce genre de geste, il faut 100% de réussite. Ce fut le cas. Mais ce n'est pas la première fois que j'essaye à distance. Je sais que les gardiens ont parfois tendance à trop s'avancer."
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot