"Si on les bat, on ne pourra pas trop fanfaronner" : France - Belgique, une affiche pas si déséquilibrée, selon Thomas Meunier

Loïc Woos
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"Si on les bat, on ne pourra pas trop fanfaronner" : France - Belgique, une affiche pas si déséquilibrée, selon Thomas Meunier
Photo: © photonews

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France - Belgique, comme on se retrouve. Des Diables peu rassurants défieront des Bleus... tout aussi peu rassurants en huitièmes de finale de l'Euro. Une rencontre préfacée par Thomas Meunier, qui connaît si bien notre futur adversaire.

Deuxièmes de leur groupe, les Diables affronteront la France en huitièmes de finale. Les Bleus ont aussi manqué la première place, au profit de l'Autriche. En conférence de presse, ce jeudi, Thomas Meunier a préfacé cette rencontre et a évoqué cet adversaire qu'il connaît si bien.

"Dans l'équipe, tout le monde est heureux de jouer contre la France. C'est un match de gala et on se fera un plaisir de tout donner. C'est un honneur de jouer de tels matchs, comme quand on les avait affrontés, ainsi que le Brésil, en 2018. La France est dotée d'une richesse sportive sublime, pas seulement dans le football. Mais ils ont fini deuxièmes, nous aussi. On aura toutes nos chances. Ce sera un beau 50-50 !"

Une Belgique peu rassurante contre une France... tout aussi peu rassurante

Depuis le début de la compétition, la Belgique ne convainc que très peu. Décevants contre la Slovaquie, et encore plus contre l'Ukraine, les Diables ont laissé apercevoir de belles choses contre la Roumanie, mais c'est un petit peu tout. La même chose que la France, finalement, qui ne compte pas encore de match référence dans cet Euro 2024.

"La France a aussi des choses à perfectionner. Mais quand on voit leurs qualités, même quand ils sont à 70 ou 80%, c'est impressionnant. On n'aura pas le choix d'être à 100% pour créer quelque chose de formidable."

Si on bat la France, on ne pourra pas trop fanfaronner"

France - Belgique, c'est aussi l'histoire d'une longue rivalité, qui a pris une ampleur encore plus particulière à l'été 2018, après une certaine demi-finale de Coupe du Monde.

"Je sens moins cette rivalité depuis que j'ai quitté Paris, où mes oreilles sifflaient constamment. C'est toujours bon enfant, c'est le principal. Charrier, ça fait partie du jeu, tant qu'il n'y a aucun débordement. Si on bat la France, on ne pourra pas trop fanfaronner, car le passé a déjà écrit une partie de l'histoire. Si la France gagne, ils se diront que c'est chaque fois la même chose avec les Belges. Chacun son point de vue."

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