"Si on est champion, je ne vois plus mon lit pendant une semaine"
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Anderlecht est revenu à hauteur de l'Union en tête du classement. Mais les Saint-Gillois ont encore toutes les cartes en main.
L'Union Saint-Gilloise sous tension après la défaite concédée à Genk et le retour d'Anderlecht ? Ce n'est pas ce qui ressort de l'interview de Charles Vanhoutte à la RTBF : "On reste très calme : on sait ce qu’on doit faire et notre réussite ne dépend que de nous [...] Notre plus grand rival ? Anderlecht… mais surtout nous-mêmes".
Les Unionistes n'ont pas perdu toute cette confiance accumulée pendant la phase classique : "Si on est champion, je pars une semaine en vacances avec Loïc Lapoussin… et on ne verra pas beaucoup notre lit ! Mais je ne veux pas encore penser à ça : d'abord être champion".
Interrogé sur une éventuelle prime de titre, il botte en touche : "Je ne sais pas… C’est Anthony Moris et Christian Burgess qui négocient avec la direction. A l’Union, ils sont très malins pour ça : ils évitent les gros salaires car ils savent que si un joueur gagne dix fois plus qu’un autre, il y aura des problèmes s’il ne performe pas".
La prime de victoire, une tradition qui marche
Elle pourrait donc être généreuse : "Quand j’ai signé à l’Union, les dirigeants m’ont dit que si on jouait de bons matches, on serait récompensés… et jusqu’à présent, ils tiennent parole. Mais l’important n’est pas l’argent : on doit se concentrer sur notre objectif. Moi, je dis toujours : si tu te donnes à 100%, l’argent va venir".
Avec un demi-point d'avance sur Anderlecht (l'arrondi lors de la division des points), c'est justement dans...le money time que l'Union devra faire la différence si elle veut s'assurer du titre. A commencer par le choc face à son voisin bruxellois dans une grosse semaine.
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