L'un des managers de Bubacarr Saneh regrette "les paroles du président Coucke" et il en tire ses conclusions
Photo: © photonews
Bubacarr Sanneh est arrivé au Parc Astrid avec l'étiquette du défenseur qui valait huit millions d'euros. Un poids peut-être lourd à porter pour le Gambien qui n'a jamais réussi à convaincre jusqu'à présent.
Le manager de Bubacarr Sanneh, Modou Lamin Beyai, n'apprécie pas les propos que le président d'Anderlecht a récemment tenus à l'égard de son joueur : "Ces paroles de Marc Coucke qui disent que Sanneh est arrivé uniquement parce qu'Hein Vanhaezebroucke le voulait. Tout le monde à Anderlecht soutenait cette décision. Y compris le président. Nous avons de plus en plus le sentiment qu'on ne croit plus entièrement en Buba à Anderlecht."
Départ
Interviewé par Het Laatste Nieuws, il se pose des questions : "Bubacarr reste toujours professionnel et il donne tout à l'entraînement. Il ne mérite pas cela. Je ne comprends pas. Anderlecht a payé tellement pour lui et le laisse maintenant sur le côté."
Sa conclusion est dès lors implacable : "Personne n'a à gagner des circonstances actuelles. Il est peut-être temps de partir." Selon le quotidien flamand, le Sporting Anderlecht a pourtant l'intention de conserver son joueur pour qu'il puisse au moins prendre part à la préparation d'avant-saison.
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