Alejandro Pozuelo réagit pour la première fois : "Je veux partir"
Alors que Genk a publié un communiqué évoquant la situation d'Alejandro Pozuelo et dans lequel le club assure que l'Espagnol a donné son accord pour rester, celui-ci a pour la première fois réagi.
Alejandro Pozuelo et Genk, le clap de fin semble proche. Alors que le club a publié un communiqué pour faire savoir qu'il ne comptait pas laisser partir son meneur de jeu, ce qui a amené l'entourage de celui-ci à menacer d'utiliser la loi de 78 , c'est désormais au joueur de réagir à sa situation de manière claire.
Je n'ai absolument pas signé ce contrat
"Je veux partir, oui", assure l'Espagnol dans Het Laatste Nieuws. "Suite au communiqué de Genk publié ce lundi au sujet de ma situation contractuelle, je me sens obligé de prendre la parole. Afin de protéger ma réputation professionnelle et mon image publique". Car selon Pozuelo, le KRC Genk n'est pas honnête. "Je veux que les fans le sachent. Il est absolument faux que j'ai donné mon accord pour rester jusqu'en juin 2019. Je demande à Genk de publier ce contrat mais je sais qu'ils ne le feront pas car il n'existe pas".
Une pression du club
Et si Alejandro Pozuelo a déclaré qu'il resterait en Limbourg, c'est selon lui... contraint et forcé. "C'est vrai, j'ai annoncé mon intention de rester, mais le club a fait pression sur moi en ce sens lors des négociations. Et je n'ai pas signé", affirme-t-il. "Je trouve fort dommage que Genk me mette dans cette situation malgré tout ce que j'ai pour eux. Et il est évident que si le club continuait à refuser de me libérer, je prendrai les mesures judiciaires nécessaires en ce sens".
Rappelons que Pozuelo serait proche de Toronto, au Canada ; d'après la presse canadienne, le club se pencherait via ses avocats sur le dossier. Le Toronto FC est également le club qui aurait la préférence de Pozuelo, mais le Toronto Sun souligne un problème : les clubs de MLS ne recruteraient pas de joueurs ayant rompu leur contrat dans leur club précédent, ce qui compliquerait la venue du Genkois. Affaire à suivre, mais dont le dénouement ne devrait plus tarder.
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