Damien Marcq, défenseur d'un soir: "Quand il faut dépanner..."

Les Zèbres ont conclu ces PO1 comme ils les ont menés: de façon frustrante, concédant le nul après avoir mené 0-2. "C'est un peu à l'image de notre match contre Anderlecht, la première mi-temps était pour nous, puis on recule trop", analyse Damien Marcq. "Il y a de la qualité offensive en PO1, donc on paie cash ce genre de choses".

Le Français a peut-être disputé un de ses derniers matchs pour Charleroi... et l'a fait dans l'axe de la défense. "J'ai une formation de défenseur central, donc quand il faut, il faut", rappelle-t-il. "On fait avec les moyens du bord, il n'y a pas de raison de râler". Et Marcq n'écarte pas la possibilité de rester: "Un départ? Je n'en sais rien, sincèrement. On va prendre quelques jours de repos puis y réfléchir avec mon entourage", explique le médian. "Ce que je retiens de mon passage ici? Le club a grandi. Atteindre deux fois les PO1 en trois ans, c'est la preuve que Charleroi devient un bon club belge. Il y a encore quelques paliers à passer pour devenir un grand club, mais Charleroi est aujourd'hui un bon club de Belgique", conclut-il.