Guillaume Gillet n'a pas oublié Anderlecht: "Le club de mon coeur"
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Actuellement à Nantes, sous la houlette de Sergio Conceiçao, Guillaume Gillet a évoqué l'état de grâce des clubs belges sur la scène européenne, mais aussi son avenir, sans oublier de donner son avis sur le latéral droit parisien, Thomas Meunier.
"C’est quelqu’un qui dit toujours tout haut ce qu’il pense. Parfois, ça peut déplaire mais c’est quelqu’un d’honnête et d’entier", a confié Guillaume Gillet lors d'un entretien accordé à la RTBF. "Ça fait du bien d’entendre des joueurs comme ça.
Gillet aussi n'est pas du genre à garder sa langue dans sa bouche. "J’essaie toujours de lâcher des petites phrases. Parfois, elles sont mal interprétées parce que tout le monde n’a pas le même sens de l’humour", a-t-il ajouté.
Anderlecht, le club de mon coeur
Gillet s'est montré ravi des belles prestations des clubs belges en Europa League. "C’est le seul pays aussi bien représenté à ce stade de la compétition. Ça veut vraiment dire que le championnat progresse, qu’il n’est pas si mauvais qu’on veut bien le dire en Belgique. Il n’y a qu’en Belgique qu’on pense que le championnat n’est pas bon et qu’il n’y a pas de qualités. Bien sûr, je suis particulièrement très content pour Anderlecht parce que ça reste le club de mon cœur".
Agé de 33 ans Guillaume Gillet sent tout doucement la fin arriver. "J’ai la vie devant moi mais la carrière presque derrière. Ce n’est pas facile de sentir la fin de quelque chose qui m’a tellement apporté s’approcher. J’essaie de prendre du plaisir au quotidien, de vivre chaque instant de la meilleure des façons. Physiquement, je me sens encore très bien, mentalement aussi donc je pense que je suis encore capable de continuer quelques années au haut niveau"
Faire un crochet aux Etats-Unis en fin de carrière
Finir sa carrière aux Etats-Unis ? Loin d'être une utopie pour l'ancien anderlechtois ! "C’est vrai que j’ai une attirance pour les États-Unis. C’est un pays qui me plaît beaucoup, à ma femme aussi, donc pourquoi pas faire un crochet par là-bas en fin de carrière."
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