Le billet de Dupk : Eupen en a perdu son latin
Photo: © SC
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L'AS Eupen change de cap. Vraiment? Monsieur Ingo Klein ressemble pourtant à s'y méprendre à un clone parfait d'Antonio Imborgia.
L'AS Eupen remet à nouveau son sort entre les mains d'un agent de joueurs. Pourtant l'expérience Imborgia est loin d'avoir été une réussite incontestable. En deux ans et demi, l'agent italien a replongé les finances des Pandas dans le rouge foncé au point que le club vient d'être frappé d'une interdiction de transferts entrants.
Les expériences récentes d'investissements d'agents de joueurs dans des clubs en Belgique se sont toutes soldées par des échecs plus ou moins cuisants. il suffit de citer les exemples de l'Union St-Gilloise, de Tubize, de l'Olympic et .... d'Eupen pour rappeler que la formule comporte plus que des risques.
Car les intérêts d'un agent ou d'une société de placement de joueurs sont autres que sportifs. Dans le meilleur des cas, un club est une vitrine pour eux. D'où la nécessité d'avoir un entraineur à leur main, un sélectionneur qui couche sur papier les promos du moment, plutôt qu'un onze solide et cohérent.
Ce qui explique par exemple la mise à l'écart immédiate de Marc Grosjean qui venait pourtant de signer au Kehrweg.
Mais la formule a ses limites. Car pour qu'elle soit rentable, il faut que les agents puissent revendre leurs joueurs. Or, combien de joueurs a revendu monsieur Imborgia? Quasi niente! En tout cas pas assez que pour tenir sa franchise eupenoise à flot.
Aujourd'hui, Monsieur Ingo Klein, agent de joueurs, amène son entraineur et ses joueurs. Des joueurs qui évoluaient la saison passée dans les divisions inférieures allemandes. Pour ramener l'Allianz en D1?
Les expériences récentes d'investissements d'agents de joueurs dans des clubs en Belgique se sont toutes soldées par des échecs plus ou moins cuisants. il suffit de citer les exemples de l'Union St-Gilloise, de Tubize, de l'Olympic et .... d'Eupen pour rappeler que la formule comporte plus que des risques.
Car les intérêts d'un agent ou d'une société de placement de joueurs sont autres que sportifs. Dans le meilleur des cas, un club est une vitrine pour eux. D'où la nécessité d'avoir un entraineur à leur main, un sélectionneur qui couche sur papier les promos du moment, plutôt qu'un onze solide et cohérent.
Ce qui explique par exemple la mise à l'écart immédiate de Marc Grosjean qui venait pourtant de signer au Kehrweg.
Mais la formule a ses limites. Car pour qu'elle soit rentable, il faut que les agents puissent revendre leurs joueurs. Or, combien de joueurs a revendu monsieur Imborgia? Quasi niente! En tout cas pas assez que pour tenir sa franchise eupenoise à flot.
Aujourd'hui, Monsieur Ingo Klein, agent de joueurs, amène son entraineur et ses joueurs. Des joueurs qui évoluaient la saison passée dans les divisions inférieures allemandes. Pour ramener l'Allianz en D1?
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