Dufoor : "Il n'y avait qu'une équipe sur le terrain : le White Star"
Photo: © SC
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Sébastien Dufoor a livré une prestation époustouflante contre Lokeren. S'il n'a pas marqué, il a joué à merveille son rôle de poison pour la défense de Lokeren.
Sébastien Dufoor mérite certainement une cote maximale. Il a livré la prestation parfaite. Même s'il était sur les rotules à un quart d'heure de la fin, Felice Mazzu a préféré le laisser sur le terrain le plus longtemps possible, tant sa classe était insolente. Il a démontré qu'il n'était pas seulement un excellent pivot ou un finisseur, mais également qu'il avait une technique au-dessus de la moyenne. Le "Ket" de Bruxelles était donc évidemment heureux après le match. "Il n'y avait aujourd'hui qu'une seule équipe sur le terrain et c'était le White Star, déclarait-il après le coup de sifflet final. Lokeren a été surclassé. Combien d'occasions se sont-ils créés? A part à la dernière minute du match sur le coup franc de Leko... C'est incroyable pour une D3 de se retrouver en quart de finale de la Coupe. C'est pas fréquent".
Après le match, c'est tout le stade Fallon qui a expolsé de joie, donnant le coup d'envoi à une fête qui se prolongea jusqu'aux petites heures de la nuit.
Et quand on lui demande si le White Star s'était enfin trouvé un public, l'attaquant du White répondit : "Le White Star est un club familial. Mais là, soudain, on a joué devant plus de 2000 supporters. Alors que d'habitude en championnat, on joue devant 250 personnes. Mais maintenant, on est le dernier club bruxellois encore en lice. On va donc se battre pour aller le plus loin possible".
Sébastien Dufoor avait à peine laché ces mots qu'il s'empara du micro du speaker du stade pour faire chanter toute la tribune du stade qui se croyait soudain revenue à ses plus belles heures de gloire au début des années septante.
Après le match, c'est tout le stade Fallon qui a expolsé de joie, donnant le coup d'envoi à une fête qui se prolongea jusqu'aux petites heures de la nuit.
Et quand on lui demande si le White Star s'était enfin trouvé un public, l'attaquant du White répondit : "Le White Star est un club familial. Mais là, soudain, on a joué devant plus de 2000 supporters. Alors que d'habitude en championnat, on joue devant 250 personnes. Mais maintenant, on est le dernier club bruxellois encore en lice. On va donc se battre pour aller le plus loin possible".
Sébastien Dufoor avait à peine laché ces mots qu'il s'empara du micro du speaker du stade pour faire chanter toute la tribune du stade qui se croyait soudain revenue à ses plus belles heures de gloire au début des années septante.
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