Eupen s'incline, mais se redresse un peu

Dirk Diederich
| 0 réaction
Eupen s'incline, mais se redresse un peu
Photo: © SC

Suis Walfoot dès à présent sur WhatsApp !

Eupen s'est à nouveau incliné (1-2). Mais il a laissé entrevoir face à Lokeren des choses intéressantes.

La première mi-temps du match qui opposait Eupen à Lokeren dans le stade de St-Trond tourna au léger  avantage des joueurs de Peter Maes qui dès la dix-huitième minute de jeu trouvèrent la faille dans la défense d'Eupen. Leko servait Overmeire qui ne se fit pas prier pour battre Petr.

Ivan Leko règnait en patron dans l'entrejeu et tentait par moment lui-même sa chance par des tirs à distance souvent dangereux. Mais si la première demi-heure fut waeslandienne, le dernier quart d'heure de la première mi-temps fut beaucoup plus équilibré et commençait à mettre le nez à la fenêtre avec beaucoup plus d'insistance. Avec un peu plus de réalisme, Mombongo-Dues aurait pu ramener les deux équipes à égalité dès la 33 ème minute.

En seconde mi-temps, Eupen y alla à l'enthousiasme et à la bonne volonté pour essayer de bousculer un Lokeren bien en place. A la cinquantième minute, Saglik loupa pour Eupen l'immanquable. Copa sauvant les meubles pour son équipe. Quelques minutes plus tard, Mombongo à nouveau hérita d'une occasion 3 étoiles quand il se présenta seul devant Copa. Mais le gardien Ivoirien gagna le duel.

Lokeren se retirait tant et plus sur sa moitié de terrain. Et Eupen d'attaquer et de se créer des occasions. Vandenbergh reprit ainsi une déviation de la tête de Panizzolo, mais c'était sans compter l'intraitable Copa.

Eupen poussait et s'exposait évidemment aux contre-attaques. Deekman partit ainsi à la limite du hors-jeu à quelques minutes de la fin, mais son tir s'écrasa sur le piquet du but défendu par Petr. Pourtant, sur la toute dernière phase de jeu, on pensa qu'Eupen serait récompensé de ses efforts. Néanmoins l'essai de Mombongo atterrit dans les filets latéraux.

L'AS Eupen est à nouveau battu. Mais la défaite était imméritée. En 24 heures, Albert Cartier est donc parvenu à faire d'une équipe moribonde un bloc, certes encore fébrile, mais volontaire.
Corrigeer
Une erreur dans l'article ci-dessus? Annoncez le ici!

Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot

Plus de news

Plus de news