Johan Vermeersch pour une nouvelle réforme du foot belge!
Photo: © SC
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Le président du FC Brussels veut repartir sur de nouvelles bases. Il vient de reconstruire une équipe de joueurs du cru. Mais il demande aussi une réforme radicale du football belge.
Johan Vermeersch est un passionné de foot. Personnage égocentrique, il incarne à merveille les présidents à l'ancienne, avec de petites idées, des illuminations, des coups de poker en guise de politique. Cela constitue une partie de son charme, mais aussi une de ses faiblesses.
Mais l'homme est rusé, batailleur, accrocheur, tackleur, pratiquant l'épaule contre épaule musclé, voire plus. Ancien ailier de débordement, le président du Brussels aime encore déborder, tantôt d'énergie, tantôt comme la goutte d'eau et le vase.
Sortant de trois ou quatre saisons de gestion calamiteuse, Johan Vermeersch a décidé de changer de fusil d'épaule. Après avoir misé sur des bataillons de joueurs étrangers, souvent de seconde zone ou qui à défaut d'être encadrés correctement, ont coulé, le dirigeant du club bruxellois mise à présent sur des joueurs bruxellois et brabançons qui devraient être davantage motivés.
Mais, selon Johan Vermeersch, l'avenir du club passe aussi par une réforme radicale de notre football. Il rallie de ce fait le plan Wijnants de Westerlo qui demande une scission nette entre le football amateur et le football professionnel. Pour l'entrepreneur de Ternat, la survie de notre élite est à ce prix, c'est à dire, la réduction de l'élite à deux divisions de dix ou de douze équipes.
Quant à la dernière réforme de la Jupiler League, Vermeersch la juge bonne à jeter aux orties.
Mais l'homme est rusé, batailleur, accrocheur, tackleur, pratiquant l'épaule contre épaule musclé, voire plus. Ancien ailier de débordement, le président du Brussels aime encore déborder, tantôt d'énergie, tantôt comme la goutte d'eau et le vase.
Sortant de trois ou quatre saisons de gestion calamiteuse, Johan Vermeersch a décidé de changer de fusil d'épaule. Après avoir misé sur des bataillons de joueurs étrangers, souvent de seconde zone ou qui à défaut d'être encadrés correctement, ont coulé, le dirigeant du club bruxellois mise à présent sur des joueurs bruxellois et brabançons qui devraient être davantage motivés.
Mais, selon Johan Vermeersch, l'avenir du club passe aussi par une réforme radicale de notre football. Il rallie de ce fait le plan Wijnants de Westerlo qui demande une scission nette entre le football amateur et le football professionnel. Pour l'entrepreneur de Ternat, la survie de notre élite est à ce prix, c'est à dire, la réduction de l'élite à deux divisions de dix ou de douze équipes.
Quant à la dernière réforme de la Jupiler League, Vermeersch la juge bonne à jeter aux orties.
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