Cheikhou Kouyate
Photo: © SC
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Il pleuvine, c'est la grisaille, la froidure. Les Anderlechtois se sont livrés à un dernier entrainement ce mardi matin avant leur dernier match de l'année au stade Constant Vanden Stock.
Les vitres du ticketing sont bardées d'affichettes signalant que ce match contre Zulte-Waregem est sold-out. Pour Walfoot, nous avons rencontré au Club House du RSCA Cheikhou Kouyate. Avec la jeune star sénégalaise, nous avons abordé l'affiche de la 21 ème journée de la Jupiler League.
Le championnat est désormais relancé suite à l'affaire Mouscron. Alors que le Sporting d'Anderlecht semblait filer vers le titre avec un boulevard d'avance, Bruges se retrouve désormais à 3 points des Bruxellois. Pourtant, les joueurs n'abordent pas le sujet. "Le coach nous l'a interdit", nous dit Cheikhou. "Nous devons nous concentrer sur nous-mêmes. Pour le coach, l'affaire est close".
Et le jeune médian semble avoir bien compris le message puisqu'il ajoute : "Rien a changé. Nous devons gagner tous nos matchs à domicile et donc battre mercredi les Flandriens. Il n'y a pas une nouvelle pression, il y a la pression habituelle, celle qui fait que Anderlecht se doit de gagner chaque match à domicile". Et Kouyate de préciser aussitôt : "Moi, cette pression, j'aime ça, c'est ce qui fait la magie de notre sport".
Le jeune médian parle néanmoins de malchance quand il évoque les nombreuses blessures qui affectent ses coéquipiers. "Les blessures se succèdent, moi-même, j'ai dû être opéré deux fois suite à des blesssures au visage". Selon Kouyate, la seule explication rationnelle qu'on pourrait avancer serait que "nos adversaires musclent de plus en plus leur jeu pour tenter de nous contrarier. Car ils pensent que c'est l'unique façon de pouvoir y arriver. Aussi, nous devons joueur nous aussi plus physiquement, d'où les accidents".
Tout sourire, Cheikhou aborde le match contre les cinquièmes du championnat avec une sérénité impressionnante : "On doit gagner, car la course pour le titre est encore longue". D'après lui, il ne fait aucun doute que "Gand et Bruges seront nos principaux concurrents, même si un retour du Standard dans la course au titre n'est pas exclu. En foot, la vérité d'aujourd'hui n'est pas toujours celle de demain. Tout change très vite".
Cependant, plus encore que les trois points de mercredi, Cheikhou Kouyate attend impatiemment la mini-trêve hivernale qui lui permettra de retourner durant 5 jours au Sénégal dans sa famille où l'attendent ses parents, sa soeur et son jeune frère qui rêve de football lui aussi . "C'est un moment de bonheur immense pour moi de retourner auprès des miens. Revoir régulièrement ma famille, c'est la seule chose dont je ne pourrais pas me passer. C'est magique".
Le championnat est désormais relancé suite à l'affaire Mouscron. Alors que le Sporting d'Anderlecht semblait filer vers le titre avec un boulevard d'avance, Bruges se retrouve désormais à 3 points des Bruxellois. Pourtant, les joueurs n'abordent pas le sujet. "Le coach nous l'a interdit", nous dit Cheikhou. "Nous devons nous concentrer sur nous-mêmes. Pour le coach, l'affaire est close".
Et le jeune médian semble avoir bien compris le message puisqu'il ajoute : "Rien a changé. Nous devons gagner tous nos matchs à domicile et donc battre mercredi les Flandriens. Il n'y a pas une nouvelle pression, il y a la pression habituelle, celle qui fait que Anderlecht se doit de gagner chaque match à domicile". Et Kouyate de préciser aussitôt : "Moi, cette pression, j'aime ça, c'est ce qui fait la magie de notre sport".
Le jeune médian parle néanmoins de malchance quand il évoque les nombreuses blessures qui affectent ses coéquipiers. "Les blessures se succèdent, moi-même, j'ai dû être opéré deux fois suite à des blesssures au visage". Selon Kouyate, la seule explication rationnelle qu'on pourrait avancer serait que "nos adversaires musclent de plus en plus leur jeu pour tenter de nous contrarier. Car ils pensent que c'est l'unique façon de pouvoir y arriver. Aussi, nous devons joueur nous aussi plus physiquement, d'où les accidents".
Tout sourire, Cheikhou aborde le match contre les cinquièmes du championnat avec une sérénité impressionnante : "On doit gagner, car la course pour le titre est encore longue". D'après lui, il ne fait aucun doute que "Gand et Bruges seront nos principaux concurrents, même si un retour du Standard dans la course au titre n'est pas exclu. En foot, la vérité d'aujourd'hui n'est pas toujours celle de demain. Tout change très vite".
Cependant, plus encore que les trois points de mercredi, Cheikhou Kouyate attend impatiemment la mini-trêve hivernale qui lui permettra de retourner durant 5 jours au Sénégal dans sa famille où l'attendent ses parents, sa soeur et son jeune frère qui rêve de football lui aussi . "C'est un moment de bonheur immense pour moi de retourner auprès des miens. Revoir régulièrement ma famille, c'est la seule chose dont je ne pourrais pas me passer. C'est magique".
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