L'homme fort de Genk grince des dents : il risque une sanction salée !
Photo: © photonews
Dimitri de Condé s'est mis dans une situation délicate. Le directeur technique du KRC Genk risque l'installation d'un dispositif de verrouillage après avoir été surpris en état d'ivresse au volant, et ce n'est pas la première fois.
Dimitri de Condé, directeur technique de Genk, s'est mis dans une situation délicate. Il y a un an, il a été à nouveau surpris en train de conduire en état d'ébriété, risquant ainsi l'installation d'un éthylotest antidémarrage.
Selon Het Belang van Limburg, De Condé a été pris il y a un an, après une victoire 1-3 de Genk contre Eupen, en train de conduire sous l'influence de l'alcool. Il était presque chez lui lorsqu'il a soufflé positif.
Ce n'est pas la première fois que cela se produit. Le parquet a demandé l'installation d'un éthylotest antidémarrage, à laquelle il échappera probablement.
En trois ans, il a soufflé deux fois plus de 0,5 mg/l, ce qui correspondrait à 1,15 grammes d'alcool par litre de sang. Selon Het Belang van Limburg, un juge de police est légalement tenu d'ordonner l'installation d'un éthylotest antidémarrage.
Cela peut durer de un à trois ans, voire même à vie. Il risque également une interdiction de conduire. Le jugement sera rendu le mois prochain.
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