Les mots forts du capitaine après la défaite contre Israël : "Honnetement, quand on voit le match..."

Les mots forts du capitaine après la défaite contre Israël : "Honnetement, quand on voit le match..."
Photo: © photonews

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Les mots manquaient aux Diables Rouges pour expliquer leur défaite hier soir. Timothy Castagne a tout de même tenté de livrer plusieurs éléments de réponse.

Il ne s'y attendait sans doute pas il y a quelques mois encore : c'est en tant que capitaine que Timothy Castagne a été invité à faire le bilan de cette campagne calamiteuse de Ligue des Nations, avec une ultime défaite contre Israël à la clé.

"J’ai essayé de parler, d’aider les jeunes. C’est dommage que ça se termine comme ça, qu’on encaisse et qu’on perde. En dehors du but, on n’a pas assez dominé et on n’a pas assez créé" a-t-il commencé au micro de la RTBF, le regard encore tourné vers la rencontre. Avant de poursuivre : "Ce n’est pas facile parce qu’on a beaucoup de nouvelles têtes. Il faut les automatismes mais c’est vrai qu’on s'attend à faire quelque chose de mieux".

Tedesco pas le seul fautif

La troisième place pour sauver les barrages ? Elle ne consolera personne : "Honnêtement, on ne peut pas être content avec ça. On a fait quelques bons matchs contre l’Italie et contre la France à la maison. Quand on joue bien on prend des bêtes buts, on encaisse et on ne reste pas assez solides. Quand on joue moins bien... on encaisse aussi. C’est un manque d’expérience". 

La comparaison avec la gestion de match de la génération dorée vient naturellement : "Il y a quelques années, même quand on avait des matches compliqués, on savait garder le zéro. Et on savait faire la différence. Il faut laisser le temps aux jeunes, mais on n’a pas beaucoup de temps". 

En tant que capitaine d'un soir, Timothy Castagne a tenu à défendre son sélectionneur : "Honnetement, quand on voit le match, ce n’est pas la tactique qui a pêché. On savait ce qu’on devait faire. On ne l’a pas bien fait, c’est tout. Pareil conte l’Italie. Il faut se regarder dans le miroir. Moi le premier. Ce n’est pas que le coach. Tout le monde doit prendre ses responsabilités". 

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