Verbist défend le VAR : "Il n'est pas en faute"

"Je n'ai vu que deux des trois phases incriminées : le tacle sur Kubo en début de rencontre et la main de Baby dans le temps additionnel. Pour moi, c'est à chaque fois pénalty. Sébastien Delférière a vu les images sur la première faute et il a estimé que cela n'était pas pénalty. C'est son opinion mais il aurait, pour moi, dû siffler pénalty", a-t-il déclaré à la RTBF.

"J'ai eu Sébastien Delférière en ligne ce matin et il m'a dit qu'il trouvait que l'attaquant de Gand s'est laissé tomber trop facilement après le contact. Sur cette phase-là, le VAR ne commet aucune erreur. Il a alerté Sébastien et il a donc vu les images. C'est Sébastien Delférière qui a estimé qu'il n'y avait pas pénalty. Le VAR a donc fait son travail ici et n'a pas commis d'erreur."

Beaucoup s'attaquent à l'utilisation de la vidéo. Son utilisation chez nous, différente à ce qu'on peut connaître dans d'autres championnats, suscite trop souvent les débâts."Tout le monde se concentre sur certaines mauvaises décisions mais il y a également beaucoup de bonnes décisions qui ont été prises par le VAR. On peut évidemment toujours s'améliorer, c'est clair. En Italie ou encore en Allemagne, il y a des décisions prises par le Vidéo Referee qui sont contestées. Ce n'est pas que chez nous que cela arrive", a conclu Johan Verbist.