"Il y a beaucoup de parallèles à faire entre l'Antwerp et le Standard à l'époque"
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L'Antwerp de Lucien D'Onofrio est une machine bien huilée, quelques mois à peine après l'arrivée du nouveau directeur technique. Peut-il reproduire le schéma de l'époque, quand il était arrivé au Standard ? Les parallèles sont nombreux, reconnaît-il.
Dans un long entretien accordé à Sport/Foot Magazine, Lucien D'Onofrio a souligné les parallèles constatables entre la situation actuelle de l'Antwerp et celle du Standard de Liège à l'époque de son arrivée. "Il y en a beaucoup ; le stade de Sclessin n'était pas encore terminé, le centre d'entraînement était dans un état lamentable, les vestiaires et le terrain en état de délabrement", énumère-t-il.
Tout ne s'est pas fait du jour au lendemain au Standard non plus
"A l'Antwerp, le stade est en rénovation, et bientôt nous nous attaquerons au centre d'entraînement pour qu'il soit digne d'un club de ce standing", explique D'Onofrio. "Je me donne trois à cinq ans pour réussir. Tout le monde a l'impression qu'au Standard, nous avons tout fait du jour au lendemain, mais il a fallu deux ans pour stabiliser le club", précise le directeur sportif du Great Old. "Ce n'est qu'à partir de la troisième année que nous avons pu construire quelque chose de bien avec les résultats que vous connaissez".
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