Quand la Flandre des beaufs dit bof à Mons
Photo: © SC
Deviens fan de Mons! 61
Peter Vanderbempt est l'un des commentateurs de référence du paysage footballistique en Flandre. Une espèce de pape de la suffisance flamande. Alors quand il parle de Mons, il décline une série de stéréotypes chers à Bart De Wever.
Peter Vanderbempt n'a rien d'un imbécile. Ancien collaborateur de Sport/Voetbalmagazine, il est surtout l'un des commentateurs vedette de matches de foot pour le compte de la radio publique flamande. De plus, il est également chroniqueur de Studio1 de la VRT. Plutôt du genre spirituel, armé de bon sens, d'une tchatche appréciable, comme ... Bart De Wever, il ne se tient plus quand il parle de football wallon.
"Je pense que la montée de Mons est plus que méritée, le mérite en revient à Dennis Van Wijk. Reste à voir si Mons apportera un plus à la D1. Avant, c'était une chouette équipe qui proposait du beau football, mais qui connaissait trop souvent des passages à vide" explique Vanderbempt au micro de la VRT.
Cependant, il poursuit : "Il y a eu le passage Brio, il y a eu Herpoel qui a été pris en "otage", il y a eu des révoltes de joueurs et il y a eu des soupçons de corruption".
Puis "Je me tiens le coeur quand je vois ces personnages dans la tribune d'honneur de Mons, avec un président singulier comme Leone... Ce Leone réagit émotivement, à l'intérieur du club comme envers l'extérieur. On est débarrassé de Bayat, mais je crains qu'avec Leone nous ayons un digne remplaçant".
"Je pense que la montée de Mons est plus que méritée, le mérite en revient à Dennis Van Wijk. Reste à voir si Mons apportera un plus à la D1. Avant, c'était une chouette équipe qui proposait du beau football, mais qui connaissait trop souvent des passages à vide" explique Vanderbempt au micro de la VRT.
Cependant, il poursuit : "Il y a eu le passage Brio, il y a eu Herpoel qui a été pris en "otage", il y a eu des révoltes de joueurs et il y a eu des soupçons de corruption".
Puis "Je me tiens le coeur quand je vois ces personnages dans la tribune d'honneur de Mons, avec un président singulier comme Leone... Ce Leone réagit émotivement, à l'intérieur du club comme envers l'extérieur. On est débarrassé de Bayat, mais je crains qu'avec Leone nous ayons un digne remplaçant".
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