Les gonzes et les bonzes du Mondial
Photo: © SC
Deviens fan de Paraguay! 2
De l'autre côté de l'océan, Larissa Riquelme passe son temps dans une nudité vénusienne de statue romaine. Le Paraguay gagne et hop, son string lui parait étouffant comme une burqa. Le Paraguay perd et Larissa offre la raie de son cul comme un sourire de consolation en manchette de la presse nationale. Le Paraguay ne joue pas, mais l'Espagne se hisse au firmament mondial et voilà que la fiancée du Mondial en remet une couche. Ou plutôt, en enlève encore une.
Le Mondial sud-africain n'a pas échappé à la pipolisation de l'univers du football. Ses vedettes? Iker, Sara, Larissa, string et lunettes de soleil.
Des millions d'Espagnols ont pris les rues de la péninsule ibérique d'assaut, tout à leur joie et tout à leur rêve. Des millions d'Espagnols ont joué à Iker et Sara, ces Barbie et Ken reliftés 2010, y allant de baisers goulus, de patins inspirés pour glisser innocemment sur les glaces de l'impudeur.
Iker Casillas incarne le gendre idéal, propre sur lui, discret, gentil, le type qui ne pète jamais à table, un peu terne, un peu Prince Philippe d'avant Mathilde, un peu albatros maladroit dès qu'il quitte l'aire de son but.
Sara Carbonero est la jeunesse, la beauté insolente, le regard de feu, les lèvres gourmandes, le corps comme une invitation au voyage. Elle est belle comme Bart De Wever est beauf. Totalement. Fondamentalement. Sa voix donne dans le lancinant, dans le chant de sirène, dans l'anti-vuvuzela. Chacune de ses apparitions est un poême qui rend anémiques les plus beaux vers de Paul Verlaine. Avec elle à la présentation du match, t'es prêt à te taper le match des vétérans Chaumont-Gistoux - Ittre.
Iker Casillas incarne le gendre idéal, propre sur lui, discret, gentil, le type qui ne pète jamais à table, un peu terne, un peu Prince Philippe d'avant Mathilde, un peu albatros maladroit dès qu'il quitte l'aire de son but.
Sara Carbonero est la jeunesse, la beauté insolente, le regard de feu, les lèvres gourmandes, le corps comme une invitation au voyage. Elle est belle comme Bart De Wever est beauf. Totalement. Fondamentalement. Sa voix donne dans le lancinant, dans le chant de sirène, dans l'anti-vuvuzela. Chacune de ses apparitions est un poême qui rend anémiques les plus beaux vers de Paul Verlaine. Avec elle à la présentation du match, t'es prêt à te taper le match des vétérans Chaumont-Gistoux - Ittre.
De l'autre côté de l'océan, Larissa Riquelme passe son temps dans une nudité vénusienne de statue romaine. Le Paraguay gagne et hop, son string lui parait étouffant comme une burqa. Le Paraguay perd et Larissa offre la raie de son cul comme un sourire de consolation en manchette de la presse nationale. Le Paraguay ne joue pas, mais l'Espagne se hisse au firmament mondial et voilà que la fiancée du Mondial en remet une couche. Ou plutôt, en enlève encore une.
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