Les Rouches l'admettent : "Ça a manqué de rythme et de vivacité"
Photo: © photonews
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Le Standard a assuré l'essentiel mercredi soir, mais n'aura pas forcément assuré le spectacle dans un Chaudron frappé par le froid. Cela n'était pas une grande surprise vu l'enchaînement des rencontres.
"Dans ce genre de match, il faut deux choses : marquer rapidement, ce qui a été fait, puis creuser l'écart", expliquait Michel Preud'homme. "Si Arnauld Mercier a dit que leur plan a fonctionné seulement trois minutes, c'était plus longtemps que ça puisque tant que ce n'est pas minimum 2-0, un match n'est pas terminé. Il fallait parvenir à conserver un certain équilibre et ne pas donner de situation de contre. Ce n'est arrivé qu'une fois, mais ça aurait pu être fatal sans cette intervention d'Arnaud Bodart."
"Le seul regret, c'est de n'avoir pas pu concrétiser une de nos situations pour faire le break. On a manqué de rythme et de vivacité, mais ce n'est pas toujours évident face à une équipe bien structurée. Mes joueurs ont été aussi un peu trop dans l'attente, en voulant le ballon dans les pieds."
Ça a manqué de folie dans notre jeu
"Il y a des matches comme ça où c'est un peu plus compliqué", commentait lui Nicolas Gavory. "Waasland-Beveren a bien joué en bloc et a endormi le jeu. Ça a manqué de mouvements et de folie de notre côté.
"Après le premier but, on a joué un peu trop lentement. Avec l'accumulation des matches, on ne peut pas toujours mettre le même rythme, mais on aurait dû poursuivre une vingtaine de minutes pour mettre le deuxième et les déstabiliser", ajoutait Arnaud Bodart.
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