Clement veut faire oublier son mauvais souvenir : "Chaque matin, je vois mon orteil Besiktas"

Avant l'Enfer de Sclessin, le Racing Genk va découvrir l'enfer de Besiktas. "Chaque point que l'on pourrait prendre contre eux serait un bonus", a assuré Philippe Clément pour Sporza. "Mes joueurs rêvent depuis un moment d'affronter de grands noms. C'est une belle affiche et un bon test. J'espère que mes joueurs ne seront pas trop impressionnés par l'ambiance."

Ce n'est pas la première fois que Clément se rend à Besiktas. Avec le Club de Bruges, en 2006, il y avait déjà évolué. "Un match spécial, car quelques jours plus tôt j'avais une fissure à l'orteil", se souvient le T1 genkois. "J'ai joué avec une injection, mais après le match, mon orteil était cassé. Je le vois encore tous les matins quand je me lève, c'est mon orteil Besiktas. C'était une mauvaise expérience, j'espère nous en aurons bientôt une meilleure."