Anderlecht veut le voir partir pour ne pas payer son salaire, mais il veut rester : Olivier Renard peut faire économiser un sacré montant aux Mauves en réussissant à s'en séparer

Anderlecht veut le voir partir pour ne pas payer son salaire, mais il veut rester : Olivier Renard peut faire économiser un sacré montant aux Mauves en réussissant à s'en séparer
Photo: © photonews
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Anderlecht aimerait libérer Amadou Diawara afin de ne pas payer ses six derniers mois de salaire. Problème : le Ghanéen ne semble pas l'entendre de cette oreille.

Il y a deux saisons déjà, Anderlecht offrait 1.9 million d'euros à l'AS Roma pour s'offrir les services d'Amadou Diawara. Un nom avec un CV solide, supposé succéder à Adrien Trebel et encadrer les jeunes joueurs. 

Si le Ghanéen avait consenti une importance baisse de salaire, Peter Verbeke avait tout de même dû offrir un salaire de 1.5 million d'euros par saison au milieu de terrain. Un salaire proche de celui de Thorgan Hazard et Jan Vertonghen. 

Un contrat qui pèse très lourd dans la masse salariale des Mauves, d'autant qu'Amadou Diawara n'a plus joué en match officiel depuis le 17 décembre 2023 et sa montée au jeu en fin de match, contre l'Antwerp. Sa dernière titularisation remonte au mois de septembre 2023. 

Anderlecht cherche à libérer Amadou Diawara, qui veut rester

Anderlecht veut donc s'en débarrasser, et rapidement. D'ici à la fin de la saison, en comptant les différents bonus, c'est encore près de 1 million d'euros que le RSCA devra verser au joueur de 27 ans. Une situation que l'on cherche à éviter, à Neerpede. 

Ce ne sera toutefois pas simple, et Olivier Renard le sait. Si Anderlecht veut limiter les départs cet hiver, une solution devra quand même être trouvée pour Amadou Diawara... qui n'attire pas grand monde, notamment en raison de son salaire important comparé à son rendement. 

Lors du mercato hivernal, Anderlecht cherchera donc à se séparer d'Amadou Diawara gratuitement, afin d'économiser ce million d'euros de salaire, tandis que le Ghanéen cherchera, lui, à rester, pour le percevoir. La solution pourrait alors se tourner vers un prêt sec de six mois, qui irait donc jusqu'à la fin de son contrat dans la capitale, à condition que son nouveau club prenne en charge une partie (importante) de son salaire.

Un sacré défi, le premier du genre pour Olivier Renard à Anderlecht. En attendant, Amadou Diawara s'entraine à nouveau avec le noyau A pour être prêt lorsqu'une occasion, dans un autre club, se présentera, écrit la Dernière Heure

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