Interview Domenico Tedesco a d'autres préoccupations que les supporters : "Prenez l'exemple de Charles De Ketelaere..."

Johan Walckiers
Johan Walckiers depuis Düsseldorf
| 0 réaction
Domenico Tedesco a d'autres préoccupations que les supporters : "Prenez l'exemple de Charles De Ketelaere..."
Photo: © photonews

Suis Walfoot dès à présent sur Instagram!

Lors de la conférence de presse de Domenico Tedesco, nous n'avons pas vraiment appris comment il allait s'attaquer à la France demain soir. Le sélectionneur est resté silencieux : "Est-ce que je vais vous révéler immédiatement notre stratégie de jeu ? Non, nous ne le ferons pas."

Le sélectionneur a plaisanté, mais est rapidement devenu sérieux. En France, des rumeurs circulent selon lesquelles Didier Deschamps voudrait jouer en 4-4-2 contre les Diables Rouges. "Si une équipe s'adapte à nous, c'est un bon signe, non ?", a déclaré Tedesco. "Cela peut aussi être un signal personnel chez les Français. Peu importe le système dans lequel ils jouent, ils ont beaucoup de qualité."

Tedesco devra lui-même élaborer un plan pour contrer cette abondance offensive des Bleus. "Nous n'aurons pas besoin d'un seul plan, mais de plusieurs", a-t-il répondu. "Nous devrons nous adapter à chaque situation. Mais les joueurs et nos supporters sont les plus importants, peu importe si nous gagnons avec mes idées."

Les Diables y croient, et c'est déjà ça !

Le mot est lancé : 'les supporters'. Comment vont-ils réagir ? "Je n'ai pas envie de me plaindre. Nous sommes qualifiés et le problème des supporters est réglé. Ils ont le droit d'exprimer leur déception. L'Ukraine n'est pas une équipe facile, vous l'avez aussi vu. Le sujet est clos. Nous ne pouvons nous en sortir que si tout le monde est derrière nous."

Il y a ce sentiment que c'est possible, dans la tête d'un petit peu tous les Diables... et de Tedesco aussi. "Nous voulons simplement nous qualifier. Favori ou outsider, ce n'est pas si important pour moi. Ces gars le veulent, vous le ressentez. C'est un match spécial. Ils ont très faim et veulent donner le maximum, de la première à la dernière seconde."

En Belgique, le grand public s'inquiète réellement de la différence de qualité. "Ces inquiétudes proviennent toujours de votre côté. Nous avons confiance en chaque joueur. Notre problème est que nous ne pouvons en aligner que 11 sur le terrain. Pour moi, il devient de plus en plus difficile chaque semaine de décider qui je mets sur le banc. De Ketelaere n'a par exemple pas encore joué, mais c'est un excellent joueur."

Corrigeer
Une erreur dans l'article ci-dessus? Annoncez le ici!

Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot

Plus de news

Plus de news