Mirallas a aussi refusé la Chine : "Cela n'aurait pas pu bien se passer pour ma famille"
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Comme Axel Witsel, l'attaquant belge d'Everton aurait pu partir en Chine. Mais il en a décidé autrement.
Kevin Mirallas a reçu des propositions de la part du championnat chinois. Mais le Diable Rouge a préféré refuser même si les salaires étaient attirants. "Il y a eu des petites approches", admet-il dans une interview accordée à Sudpresse. "Les chiffres donnent le tournis et c’est logique de se poser la question. Si j’avais pris la décision de partir là-bas, je l’aurais regretté. Du moins, à mon âge."
"Cela n’aurait pas pu bien se passer pour ma famille. J’ai encore envie de prendre du plaisir, de disputer de belles compétitions et, puis, il ne faut pas l’oublier, je ne gagne pas non plus des miettes de pain. Je ne vais pas dire que je vais aller en Chine pour gagner ma vie ; je la gagne très bien à Everton ! Il sera temps d’y repenser plus tard."
"Quand tu pars en Chine, tu sais qu’il y a des conséquences"
Gagner de l'argent, Mirallas le veut évidemment comme tout autre footballeur. Mais pas à tout prix. "Quand tu pars en Chine, tu sais qu’il y a des conséquences : un championnat beaucoup plus faible, une vie de famille plus compliquée, un pays sans repères, une langue que tu ne connais pas. Quand tu regarderas ton compte en banque, tu seras content mais quand tu regarderas dehors, tu ne le seras peut-être pas. L’argent ne fait pas tout."
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