Le Standard et Benfica doivent encore trouver un terrain d'entente
Photo: © SC
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Le Benfica de Lisbonne veut Axel Witsel. Le Standard est prêt à vendre son Diable Rouge. Axel Witsel s'est sans doute déjà procuré un Assimil "le portugais vite et bien". Pourtant, le transfert serait loin d'être déjà finalisé.
Selon le quotidien flamand Het Nieuwsblad, le prestigieux club portugais n'aurait toujours pas remis d'offre officielle à la direction du Standard pour transférer Axel Witsel. Le Diable Rouge était d'ailleurs sur le terrain hier lors du match amical qu'a disputé le Standard contre Sedan.
Le club de Sclessin espère, de fait, une somme de 8 millions d'euros. Or, l'intermédiaire qui oeuvre pour les intérêts du club lisboète n'a proposé jusqu'ici qu'une somme bien inférieure à ce montant.
D'où l'hypothèse que les Portugais joueraient la montre pour tenter de faire baisser le prix. Le transfert ne serait donc pas pour demain, contrairement à ce qui a été annoncé un peu partout.
Pierre François, le directeur général du Standard fait d'ailleurs preuve d'une prudence de Sioux. "Je préfère ne pas m'exprimer sur le transfert d'Axel Witsel, car c'est un dossier délicat, explique-t-il au quotidien flamand. Nous devons tenir compte des souhaits du joueur, mais aussi des intérêts des deux clubs. Nous devons également respecter les promesses faites au joueur l'an dernier. Et ces promesses ne sont pas celles que je lis parfois dans les journaux".
Le club de Sclessin espère, de fait, une somme de 8 millions d'euros. Or, l'intermédiaire qui oeuvre pour les intérêts du club lisboète n'a proposé jusqu'ici qu'une somme bien inférieure à ce montant.
D'où l'hypothèse que les Portugais joueraient la montre pour tenter de faire baisser le prix. Le transfert ne serait donc pas pour demain, contrairement à ce qui a été annoncé un peu partout.
Pierre François, le directeur général du Standard fait d'ailleurs preuve d'une prudence de Sioux. "Je préfère ne pas m'exprimer sur le transfert d'Axel Witsel, car c'est un dossier délicat, explique-t-il au quotidien flamand. Nous devons tenir compte des souhaits du joueur, mais aussi des intérêts des deux clubs. Nous devons également respecter les promesses faites au joueur l'an dernier. Et ces promesses ne sont pas celles que je lis parfois dans les journaux".
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