Un entraîneur doit-il changer son équipe quand elle domine mais ne marque pas ? C'est la question que s'est posé Gaëtan Englebert contre l'Olympic

Loïc Woos
Loïc Woos depuis Rocourt
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Un entraîneur doit-il changer son équipe quand elle domine mais ne marque pas ? C'est la question que s'est posé Gaëtan Englebert contre l'Olympic

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Que doit faire un entraîneur lorsque son équipe domine clairement le match mais ne parvient pas à trouver le chemin des filets ? C'est la question que s'est posé Gaëtan Englebert ce dimanche.

Mené à dix minutes du terme, le RFC Liège a fait la différence en fin ce match contre l'Olympic Charleroi pour empocher trois points importants (2-1). "Le résultat est mérité. On n'a pas été assez dangereux en première mi-temps mais on a fait un bon match. On a eu les occasions pour revenir plus tôt, mais on a aussi eu le caractère et la mentalité pour le faire en fin de match et ce n'est pas la première fois cette saison. Je suis heureux des entrants qui ont su faire la différence" se réjouit Gaëtan Englebert

Liège a dominé, s'est créé une multitude d'opportunités mais a tardé avant de faire la différence. Une situation difficile pour un entraîneur qui ne sait pas s'il doit laisser en place les joueurs qui permettent cette domination ou s'il faut ajouter du sang frais pour soigner la finition. "C'est difficile de savoir si on doit changer quelque chose ou pas car on domine le match. On fait les changements quand les milieux de terrain commencent à avoir de l'espace. On essaye de changer pour donner cet électrochoc. Cela ne marche pas systématiquement mais ça a payé cette fois. Si un entrant marque un but, on ne retient que ça et pas le travail du joueur avant lui qui a fatigué la défense pendant une heure. C'est un travail collectif qui montre une nouvelle fois qu'on a un groupe de 23 joueurs concernés."

Une fois les deux équipes remises sur un pied d'égalité, les Sang&Marine ont continué de mettre la pression pour aller chercher la victoire. "On a dit au groupe de continuer à mettre de l'intensité de manière organisée, sans faire n'importe quoi. On savait qu'on pourrait faire la différence sur phase arrêtée et on a pu en profiter. C'est bien que les joueurs y croient d'eux-mêmes car ce n'est pas toujours facile de communiquer sur le terrain" conclut Gaëtan Englebert.

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