Le coach de Tubize ne s'inquiète pas: "Si je dois quitter ce poste, je partirai avec la tête haute"

"Dès le premier jour dans un club, la pression est présente sur les épaules d’un entraîneur" explique Sadio Demba dans la DH. "Si on ne sait pas vivre avec, il faut changer de métier."

Le coach tubizien est conscient qu'il joue sans doute sa tête ce soir à l'Union. "Si demain je dois quitter ce poste à Tubize, je partirai avec la tête haute" assure-t-il.

Mais Tubize arrive à Bruxelles avec de nouvelles forces vives. "Il y a une différence entre s’entraîner à 18 et à 23. Lorsque tout le monde est là, le niveau augmente naturellement."

L'objectif est simple pour le match face aux Saint-Gillois. “Nous sommes dans une situation qui ne nous permet pas de faire des calculs. Nous devons prendre des points, peu importe la manière" a-t-il conclu.