Réaction Preud'homme s'en prend encore à l'arbitrage: "Quand il y a faute, il faut siffler"

"Nous avons connu un départ parfait. Après une belle action, on a su faire le 0-1. On aurait du maintenir le même niveau, mais on a été surclassé par Genk à certains moments. Pendant ses temps forts, Genk a été meilleur que nous", admet un Michel Preud'homme philosophe.

Il y avait faute et carton jaune - _{Michel Preud'homme}

Pourtant le premier et deuxième but limbourgeois restent en travers de la gorge de l'entraîneur liégeois. "J'ai un problème avec la manière dont on encaisse ces buts", poursuit Preud'homme en faisant allusion à la faute provoquée par De Bock sur l'égalisation limbourgeoise. "Il ne doit pas faire ça. Le ballon était à 20 mètres de lui".

Preud'homme est également revenu sur le duel entre Malinovskyi et Denswil, donnant finalement l'avantage au Racing Genk (2-1). "Il y avait une sérieuse faute sur Denswil. Quand il y a faute, il faut siffler. Le joueur a taclé les deux pieds en avant. Il y avait faute et carton jaune".

On avait tout en main

Enfin, on sent que cette défaite, la première lors des huit derniers match brugeois, risque de rester un petit moment au fond de la gorge de Michel Preud'homme... "Après un bon départ, on aurait du aborder la rencontre différemment. On avait tout en main".