Meteb, une question de pognon...

Photo: © SC
On commence à en savoir davantage sur les raisons qui ont poussé Meteb à retourner dans son pays sans prévenir le Standard.
Derrière le fiasco se cacherait entre autres une histoire de pognon. L'attaquant international égyptien aurait fait chanter Al Ahly, son ancien et...futur club, en se servant de son (faux) départ au Standard. Histoire de faire monter les enchères en vue d'obtenir une forte revalorisation salariale.
Il faut croire que Meteb a réussi son (gros) coup, puisque la formation égyptienne serait prête à lui offrir un véritable pont d'or. Sous la forme d'un contrat de trois ans, avec deux millions net à la clé. De quoi pouvoir couler des jours heureux sur les bord de la mer rouge...Autrement plus sexy que le bord de Meuse, il est vrai.
Et le Standard dans tout ça? Si la direction fait peu de commentaires, on imagine mal qu'elle décide de classer le dossier sans suite.
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