L'histoire de Colin Coosemans à Anderlecht devient encore plus incroyable : "Cela s'est produit le lendemain de l'arrivée de Schmeichel"

L'histoire de Colin Coosemans à Anderlecht devient encore plus incroyable : "Cela s'est produit le lendemain de l'arrivée de Schmeichel"

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Colin Coosemans est revenu du diable vauvert pour devenir le meilleur gardien de Belgique durant ces 6 premiers mois de compétition. Mais l'histoire de sa "résurrection" est encore plus folle qu'on le croit.

Colin Coosemans était récemment l'invité du podcast néerlandophone MidMid et y a parlé des moments difficiles qu'il a traversés. Surtout la saison dernière, lorsqu'il lui avait été promis qu'il serait le deuxième gardien derrière Maxime Dupé. Si Dupé a mal vécu l'arrivée de Kasper Schmeichel, Coosemans se retrouvait complètement écarté.

“J'étais alors soudainement de nouveau troisième gardien et mentalement, c'était à peu près le pire moment de ma carrière”, a déclaré Coosemans, qui révèle une anecdote restée secrète. “Le lendemain de l'arrivée de Schmeichel, je me suis bloqué la nuque après avoir reçu un coup de tête lors d'une partie de tennis-football à l'entraînement."

"C'était purement dû au stress. Mon cou était tellement bloqué et j'avais tellement mal que j'ai dû prendre 3 à 4 tramadols ce jour-là. La nuit, je me suis réveillé à la maison à cause de la douleur et j'ai même perdu connaissance. Ma femme a dû appeler une ambulance", raconte le portier anderlechtois.

"Ça a pris un certain temps pour me remettre de tout ça, mais après cela, j'ai quand même trouvé le courage de continuer. Être aujourd'hui le premier gardien à Anderlecht est une si belle récompense.”

Entre-temps, Coosemans est parvenu à prouver qu'il avait peut-être bien toujours eu les qualités pour devenir le n°1. Il lui fallait juste rencontrer le bon entraîneur. Sous Hubert, il fait étalage de ses qualités et impressionne même par son jeu au pied, qui était la spécialité de Kasper Schmeichel.

"Je n'aime pas vraiment me comparer aux autres. Dans le football moderne, on demande au gardien de créer le surnombre et d'être un onzième joueur de champ", reconnaît Colin Coosemans. "Cela nous aide à déplacer le jeu de gauche à droite, rendant ainsi difficile pour l'adversaire de continuer à nous mettre sous pression".

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