Olivier Suray dénonce les joueurs les plus fêtards qu'il a côtoyé à Anderlecht et à Charleroi

Que ce soit à Charleroi ou à Anderlecht, Olivier Suray a facilement trouvé des compagnons de fête.  Il les a dénoncés dans la Dernière Heure / Les Sports : "En jouant à Charleroi, des fêtards, j’en ai effectivement connu beaucoup. Même à Anderlecht, il y en avait pas mal. Avec Nilis, Degryse ou Albert, on savait faire la fête. Maintenant, s’il faut citer un fêtard doublé d’un sacré comique, ce sera Rudy Moury. Il parvenait à faire rire tout le monde dans le vestiaire, ensuite sortir toute la nuit, mais il était le premier à l’entraînement le lundi pour courir dans les bois. Le type d’équipier rêvé dans un club, même un club du haut niveau..."

Grosse fiesta

Néanmoins, il reconnaît avoir connu sa plus grosse cuite au Pays Noir avec Rudy Moury : "Une fête qui a prolongé notre succès, avec Charleroi, par 3-2 contre le Club Bruges, avec un but de Van Meir à l’ultime seconde. Je ne suis rentré chez moi que... 72 heures plus tard, avec ma femme et mon beau-père qui cherchaient partout après moi. Je les voyais passer dans la rue, alors je me cachais derrière le bar du bistrot dans lequel je me trouvais, et quand ils demandaient aux gens s’ils m’avaient vu, ces derniers répondaient par la négative. Et comme à l’époque les GSM n’existaient pas, ils ne m’ont jamais repéré..."