Réaction Anderlecht sait où il se rendra : "Nous irons dans leur enfer"
Photo: © photonews
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Jeudi prochain, 30.000 bouillants supporters pousseront l'Olympiakos vers la victoire. Les Anderlechtois savent donc que leur unique but d'avance est loin d'être suffisant pour se déplacer l'esprit tranquille.
"Nous irons là-bas avec l'intention de laisser passer l'orage durant les 20 premières minutes", a déclaré Besnik Hasi. "Nous nous attendons à beaucoup de pression dans les premières minutes, nous jouerons dans un enfer. Et ils ont tellement d'avance en championnat qu'ils peuvent reposer leurs joueurs. Un luxe que nous n'avons pas."
On a bien répondu dans les duels - Büttner
Mais Hasi a tout de même des choses positives sur lesquelles se baser : "Nous avons concédé peu d'occasions, ce qui me donne un bon sentiment. Nous venons aussi d'enchaîner deux clean-sheets, un signe que nous avons acquis une stabilité. Et ce, pas seulement grâce au gardien et aux défenseurs, mais à tout le monde."
Les joueurs aussi savent à quoi s'attendre. "Ils ont des joueurs expérimentés alors que nous sommes plus jeunes mais nous avons bien répondu dans les duels. Chez eux, ils seront portés par leur public. Le stade sera comble, c'est chose acquise", déclarait Alexander Büttner.
Ça reste du 50 / 50
Badji a connu les atmosphères hostiles en Turquie. "On se déplacera avec beaucoup de respect car il reste du travail. De plus, on sera attendu là-bas, ce qui va compliquer la tâche."
Proto également se méfie du match en Grèce. "Ça reste du 50/50, l'Olympiakos est une équipe de Ligue des Champions. Le 1-0 n'est qu'un mince avantage, il faudra marquer là-bas pour survivre."
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