Quelques bons mots pour bien commencer 2011
Photo: © SC
Deviens fan de Nottingham Forest! 21
José Mourinho collectionne les petites phrases qui font jaser. Mais il a eu un prédécesseur célèbre : Brian Clough, l'homme qui mena Nottingham Forest au sommet de la scène européenne.
Clough avait une haute idée de lui-même. En comparaison, José Mourinho est un modèle d'humilité. Mais Brian Clough avait pour lui une réussite exemplaire dans ses entreprises qui ont fait de lui la référence des références en Angleterre. Voic un bref florilège de quelques-unes de ses plus belles citations.
-"Je ne dirais pas que j'étais le meilleur dans ce métier, mais je ne vois personne au-dessus de moi."
-"Rome ne s'est pas faite en un jour. D'un autre côté, on ne m'avait pas consulté."
-"Quand j'avais un problème avec un joueur, on s'asseyait ensemble pendant vingt minutes et on en discutait. Puis nous décidions d'un commun accord que j'avais raison."
-"Tous les samedis à trois heures moins dix, je faisais passer le même message à mes joueurs : je n'hésiterais pas à descendre ma propre grand-mère si cela pouvait nous rapporter les trois points. Cela les aidait à comprendre qu'il fallait être prêt à tout donner pour la victoire. Tous les samedis. C'est pour cela que ma grand-mère a vécu plus de vies qu'un chat."
-"En choisissant Sven Goran Eriksson, au moins, cette fois-ci, la F.A. a choisi un sélectionneur qui parle mieux anglais que ses joueurs."
-"John Robertson n'était vraiment pas très beau. Quand je me sentais un peu déprimé, je m'asseyais à côté de lui. Comparé à lui, j'étais Errol Flynn ! En revanche, quand on l'envoyait sur le terrain, il devenait un véritable artiste. C'était le Picasso du football anglais."
-"Je ne dirais pas que j'étais le meilleur dans ce métier, mais je ne vois personne au-dessus de moi."
-"Rome ne s'est pas faite en un jour. D'un autre côté, on ne m'avait pas consulté."
-"Quand j'avais un problème avec un joueur, on s'asseyait ensemble pendant vingt minutes et on en discutait. Puis nous décidions d'un commun accord que j'avais raison."
-"Tous les samedis à trois heures moins dix, je faisais passer le même message à mes joueurs : je n'hésiterais pas à descendre ma propre grand-mère si cela pouvait nous rapporter les trois points. Cela les aidait à comprendre qu'il fallait être prêt à tout donner pour la victoire. Tous les samedis. C'est pour cela que ma grand-mère a vécu plus de vies qu'un chat."
-"En choisissant Sven Goran Eriksson, au moins, cette fois-ci, la F.A. a choisi un sélectionneur qui parle mieux anglais que ses joueurs."
-"John Robertson n'était vraiment pas très beau. Quand je me sentais un peu déprimé, je m'asseyais à côté de lui. Comparé à lui, j'étais Errol Flynn ! En revanche, quand on l'envoyait sur le terrain, il devenait un véritable artiste. C'était le Picasso du football anglais."
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot