Les Zèbres ont dansé un mauvais flamenco
Photo: © SC
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Le Sporting de Charleroi a tenu le coup quarante minutes durant contre des Limbourgeois bien pâlichons. Puis ils ont craqué d'une pièce, la pièce que laissa comme pourboire Abbas Bayat au maître d'hôtel de Malaga.
La première mi-temps vit un Sporting volontaire, mais limité face à un Racing de Genk qui apparait décidément un peu essoufflé. C'est donc les Carolos qui se créèrent la première occasion du match sur un tir de Moussa Gueye. Mais Courtois, le gardien de Genk, intervint à bon escient.
Genk balbutiait son football d'habitude bien plus conquérant. Pire même, sur un tackle d'Aarab, Jelle Vossen fut blessé et dut être remplacé. Les deux équipes se créaient des quarts de demis occasions au point qu'on pouvait se demander si on assistait à une rencontre de D1. Néanmoins, dans la dernière ligne droite de la première mi-temps, les joueurs de Franky Vercauteren haussèrent le rythme et réalisèrent le break en l'espace de cinq minutes. Ogunjimi fusilla d'abord Baguette (0-1), puis Fabris trompait malheureusement son gardien pour faire 0-2.
S'il y a eu coaching dans les vestiaires du Sporting à la mi-temps, les paroles de Laszlo Csaba eurent finalement l'impact d'une goulash préparée sans paprika. Car dès la cinquantième minute, l'inévitable Ogunjimi marquait le 0-3 qui scellait le sort des Zèbres.
Genk poursuivit la rencontre avec un trop plein de suffisance. Charleroi n'en menait pas large. Mais à un quart d'heure de la fin, Orlando profita d'une belle ouverture de Cordaro pour rappeler à l'ordre les leaders du championnat (1-3).
Mais il était trop tard pour espérer quoi que ce soit. Certes, le Sporting retrouva de l'allant et une bonne volonté mise à mal trente-cinq minutes durant. Toutefois la messe était dite. Et la enième défaite était un fait. Avec néanmoins un petit goût de sauce andalouse.
Genk balbutiait son football d'habitude bien plus conquérant. Pire même, sur un tackle d'Aarab, Jelle Vossen fut blessé et dut être remplacé. Les deux équipes se créaient des quarts de demis occasions au point qu'on pouvait se demander si on assistait à une rencontre de D1. Néanmoins, dans la dernière ligne droite de la première mi-temps, les joueurs de Franky Vercauteren haussèrent le rythme et réalisèrent le break en l'espace de cinq minutes. Ogunjimi fusilla d'abord Baguette (0-1), puis Fabris trompait malheureusement son gardien pour faire 0-2.
S'il y a eu coaching dans les vestiaires du Sporting à la mi-temps, les paroles de Laszlo Csaba eurent finalement l'impact d'une goulash préparée sans paprika. Car dès la cinquantième minute, l'inévitable Ogunjimi marquait le 0-3 qui scellait le sort des Zèbres.
Genk poursuivit la rencontre avec un trop plein de suffisance. Charleroi n'en menait pas large. Mais à un quart d'heure de la fin, Orlando profita d'une belle ouverture de Cordaro pour rappeler à l'ordre les leaders du championnat (1-3).
Mais il était trop tard pour espérer quoi que ce soit. Certes, le Sporting retrouva de l'allant et une bonne volonté mise à mal trente-cinq minutes durant. Toutefois la messe était dite. Et la enième défaite était un fait. Avec néanmoins un petit goût de sauce andalouse.
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