La Mannschaft s'impose à l'Allemande
Photo: © SC
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La Mannschaft s'est imposée au stade roi Baudoin à l'allemande et la Belgique s'est inclinée à la belge. Score final 0-1.
La Belgique a dû s'incliner une fois de plus devant une des vérités les plus absurdes du foot : "Le football est un sport simple : 22 hommes poursuivent un ballon pendant 90 minutes et à la fin, ce sont les Allemands qui gagnent" pour reprendre la définition dadaïste de Gary Lineker.
La Belgique s'est montrée inspirée et entreprenante une mi-temps durant à la manière d'un papillon qui sous le soleil estival bondit de fleurs en fleurs pour faire joli, pour éblouir les esthètes, mais sans répondre à la question définitive du pourquoi et du pour qui. Fellaini et Lukaku esquissèrent en première mi-temps des arc-en-ciel en forme de sourire au-dessus du stade Roi Baudoin. Hélas jamais jusque dans le but défendu par l'excellent Neuer.
L'Allemagne ne resta pas coite en première mi-temps, mais elle sortit véritablement ses griffes d'aigle carnassier en seconde mi-temps quand Daniel Van Buyten y alla d'une approximation coupable que Miroslav Klose, son équipier au Bayern, sanctionna sans coup férir.
La messe était dite en allemand, la langue du pape et les Belges en perdirent leur latin.
Après le match, Vincent Kompany parut désabusé, mais pas découragé. "Chaque match a sa propre histoire. Le but qu'on encaisse, c'est de la malchance. Mais notre organisation fut bonne. Sans avoir été extraordinaires, on a disputé un match sobre. On a eu quelques occasions qu'on aurait dû mettre au fond du but. On aurait pu gagner".
La Belgique s'est montrée inspirée et entreprenante une mi-temps durant à la manière d'un papillon qui sous le soleil estival bondit de fleurs en fleurs pour faire joli, pour éblouir les esthètes, mais sans répondre à la question définitive du pourquoi et du pour qui. Fellaini et Lukaku esquissèrent en première mi-temps des arc-en-ciel en forme de sourire au-dessus du stade Roi Baudoin. Hélas jamais jusque dans le but défendu par l'excellent Neuer.
L'Allemagne ne resta pas coite en première mi-temps, mais elle sortit véritablement ses griffes d'aigle carnassier en seconde mi-temps quand Daniel Van Buyten y alla d'une approximation coupable que Miroslav Klose, son équipier au Bayern, sanctionna sans coup férir.
La messe était dite en allemand, la langue du pape et les Belges en perdirent leur latin.
Après le match, Vincent Kompany parut désabusé, mais pas découragé. "Chaque match a sa propre histoire. Le but qu'on encaisse, c'est de la malchance. Mais notre organisation fut bonne. Sans avoir été extraordinaires, on a disputé un match sobre. On a eu quelques occasions qu'on aurait dû mettre au fond du but. On aurait pu gagner".
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