L'argent n'a pas d'odeur!
Photo: © SC
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Harry Redknapp, le coach de Tottenham, a le sens de la formule. Pour lui, les joueurs, les supporters n'ont rien à cirer de la provenance de l'argent qui permet les mercatos les plus délirants.
Outre-Manche, les journalistes à l'affût de déclarations piquantes, tendent toujours de bon coeur leurs micros à Harry Redknapp. Car l'homme aime à aller à contre-courant et ne lésine pas sur les déclarations chocs, mais qui recèlent toujours une part de vérité. Là, il vient de se lacher dans The Sun, le tabloid anglais.
Harry Redknapp est le coach-manager de Tottenham. Le club londonien n'a pas défrayé la chronique du mercato estival. Pourtant, Redknapp ne jalouse pas le mercato plutôt éléphantesque de Manchester City. Au contraire, il le salue et ne s'offusque pas des sommes dépensées, ni de la provenance de cet argent.
Manchester City a déjà dépensé 250 millions d'euros en transfert cet été. Aux mains de Cheikhs arabes, les Citizens dépensent sans compter. Redknapp "Ils amènent de bons joueurs, tant mieux. Quant à la provenance de l'argent, ni les supporters, ni les joueurs n'en ont rien à foutre. Saddam Hussein aurait pu être propriétaire du club, s'il y avait investi des millions, les supporters du club auraient été heureux et auraient chanté "There's only one Saddam".
Dans le football, l'argent n'a décidément pas d'odeur.
Harry Redknapp est le coach-manager de Tottenham. Le club londonien n'a pas défrayé la chronique du mercato estival. Pourtant, Redknapp ne jalouse pas le mercato plutôt éléphantesque de Manchester City. Au contraire, il le salue et ne s'offusque pas des sommes dépensées, ni de la provenance de cet argent.
Manchester City a déjà dépensé 250 millions d'euros en transfert cet été. Aux mains de Cheikhs arabes, les Citizens dépensent sans compter. Redknapp "Ils amènent de bons joueurs, tant mieux. Quant à la provenance de l'argent, ni les supporters, ni les joueurs n'en ont rien à foutre. Saddam Hussein aurait pu être propriétaire du club, s'il y avait investi des millions, les supporters du club auraient été heureux et auraient chanté "There's only one Saddam".
Dans le football, l'argent n'a décidément pas d'odeur.
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