Reportage Surprise dans le choc des extrêmes
Photo: © SC
Suis Walfoot dès à présent sur Instagram!
Les Sang et Or de Lens ont fait mordre la neige aux Sudistes de Marseille.
Ce mercredi, pendant que les rencontres belges étaient remises suite aux mauvaises conditions climatiques, on jouait en France. A seulement quelques encâblures de la frontière, le Racing de Lens recevait l'Olympique de Marseille dans le cadre des 16emes de finale de la Coupe de France.
Grâce au travail de bénévoles et d'employés logistiques, la pelouse est dans un très bon état (voir photo du haut). Pourtant, nous ne sommes qu'à 150km de Charleroi, où le duel contre Lokeren a été postposé...
Dès le onze de base, on peut sentir que l'OM ne fait pas de cette partie un objectif crucial. Certes plusieurs titulaires sont alignés d'emblée (Mandanda, Cheyrou, Abriel, Taiwo) mais l'on sent directement que les Phocéens ne sont pas en grande forme.
Cela se confirme après une vingtaine de minutes de jeu, lorsque Jemaa ouvre le score après une belle action. Quelques instants plus tard, Félix Bollaert explose une nouvelle fois. Son attaquant double la mise avec la complicité involontaire de Mandanda.
A la pause, le marquoir affiche 2-0 à la surprise générale. Marseille n'a jamais été dans le coup, à l'image de Morientes, fantomatique, qui n'a pratiquement pas touché le cuir en 45 minutes. Il est d'ailleurs remplacé par Brandao.
De retour des vestiaires, Didier Deschamps a semble-t-il remotivé ses troupes. Le terrain est certes plus difficile après le quart d'heure d'arrêt (voir photo ci-contre), mais l'OM revient plus conquérent et un peu plus appliqué. Ceci dit, une nouvelle erreur d'Hilton (catastrophique mercredi), permet à Maoulida de s'en aller battre le portier adverse. 3-0, c'est la folie dans le stade !
Cinq minutes plus tard, Cheyrou reprend un centre et atténue les chiffres, mais décidément, les Phocéens n'y sont pas. Incapables de bousculer les Nordistes, les pensionnaires du Vélodrome s'enlisent. La blessure de Brandao (claquage) n'arrange évidemment rien.
Lens s'impose brillamment grâce notamment aux excellentes prestations de Bedimo et Demont, ses deux arrières latéraux. Les Sang et Or sont qualifiés pour les 8e, le rêve continue donc. Un beau cadeau pour Vedran Runje, son keeper, dont c'était l'anniversaire.
A signaler, l'atmosphère chaleureuse qui a régné dans et autour du stade. On sait mettre de l'ambiance dans le Nord !
PHOTOS : Un grand merci à Fabian Berti.
Grâce au travail de bénévoles et d'employés logistiques, la pelouse est dans un très bon état (voir photo du haut). Pourtant, nous ne sommes qu'à 150km de Charleroi, où le duel contre Lokeren a été postposé...
Dès le onze de base, on peut sentir que l'OM ne fait pas de cette partie un objectif crucial. Certes plusieurs titulaires sont alignés d'emblée (Mandanda, Cheyrou, Abriel, Taiwo) mais l'on sent directement que les Phocéens ne sont pas en grande forme.
Cela se confirme après une vingtaine de minutes de jeu, lorsque Jemaa ouvre le score après une belle action. Quelques instants plus tard, Félix Bollaert explose une nouvelle fois. Son attaquant double la mise avec la complicité involontaire de Mandanda.
A la pause, le marquoir affiche 2-0 à la surprise générale. Marseille n'a jamais été dans le coup, à l'image de Morientes, fantomatique, qui n'a pratiquement pas touché le cuir en 45 minutes. Il est d'ailleurs remplacé par Brandao.
De retour des vestiaires, Didier Deschamps a semble-t-il remotivé ses troupes. Le terrain est certes plus difficile après le quart d'heure d'arrêt (voir photo ci-contre), mais l'OM revient plus conquérent et un peu plus appliqué. Ceci dit, une nouvelle erreur d'Hilton (catastrophique mercredi), permet à Maoulida de s'en aller battre le portier adverse. 3-0, c'est la folie dans le stade !
Cinq minutes plus tard, Cheyrou reprend un centre et atténue les chiffres, mais décidément, les Phocéens n'y sont pas. Incapables de bousculer les Nordistes, les pensionnaires du Vélodrome s'enlisent. La blessure de Brandao (claquage) n'arrange évidemment rien.
Lens s'impose brillamment grâce notamment aux excellentes prestations de Bedimo et Demont, ses deux arrières latéraux. Les Sang et Or sont qualifiés pour les 8e, le rêve continue donc. Un beau cadeau pour Vedran Runje, son keeper, dont c'était l'anniversaire.
A signaler, l'atmosphère chaleureuse qui a régné dans et autour du stade. On sait mettre de l'ambiance dans le Nord !
PHOTOS : Un grand merci à Fabian Berti.
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot
STVV
OH Louvain
Antwerp
KV Malines