Felice Mazzu révèle les deux clubs étrangers qui ont frappé à sa porte cet été : "J'étais très proche de signer"

Felice Mazzu est en pleine mission sauvetage à Saint-Trond. D'autres clubs sont pourtant venus aux nouvelles.
En mars dernier, Felice Mazzu et Charleroi ont dû se résoudre à un crêve-coeur avec cette séparation avant les Playdowns. "La première fois que vous vous faites limoger, ça vous fait quelque chose. En 35 ans de travail, ça ne m’était jamais arrivé... et ce fut à Genk. Au deuxième C4, à Anderlecht, c’est un peu atténué. Et la troisième fois, encore plus" explique-t-il à la RTBF.
Le Carolo est resté un peu moins de six mois sans club avant de répondre favorablement à l'appel de Saint-Trond. Il explique que deux offres arrivées de l'étranger étaient également sur la table.
"J’étais très, très proche de signer à Pise, en Série B italienne" commence-t-il. Coacher en Italie était une expérience tentante vu ses racines transalpines. Surtout quand on sait qu'un certain Pippo Inzaghi a emmené l'équipe à la deuxième place du championnat, avec la Serie A en ligne de mire.
Le choix du coeur
L'autre opportunité était tout aussi intéressante, mais pour d'autres raisons. Mazzu évoque "le club d'Arabie Saoudite où jouent Ismaël Kandouss et Gaetan Coucke, des joueurs que j’ai dirigés à l’Union et à Genk". Il aurait ainsi pu signer à Al-Orobah, actuel treizième de Saudi Pro League, où évolue également Kurt Zouma.
Mais si Felice Mazzu est aujourd'hui l'entraîneur de Saint-Trond, c'est qu'aucune des deux pistes n'a abouti : "J’ai finalement refusé. Comme chacun sait, mon Papa ne va pas bien et je veux rester à ses côtés. L’avenir ? Je ne sais pas… J’ai appris à ne plus faire de plans d’avenir. Mais je suis très heureux à Saint-Trond".
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