Réaction "On disait que Charleroi et son coach étaient parmi les meilleurs en Belgique : aujourd'hui, c'est une équipe et un coach de merde"
Photo: © photonews
Installé dans les Play-Offs 1, il y a un petit peu plus d'un mois, le Sporting Charleroi est aujourd'hui barragiste virtuel. Et Rik de Mil, depuis le banc, semble impuissant avec son noyau pas suffisamment qualitatif pour atteindre les objectifs fixés.
Pour ne pas se retrouver dans une très mauvaise posture, celle d'un barragiste virtuel, le Sporting Charleroi devait s'imposer sur la pelouse du Cercle de Bruges, dimanche. Les Zèbres, qui ne sont jamais réellement entrés dans leur match, ont finalement concédé un cinquième revers consécutif. Rik de Mil était naturellement très déçu, après la rencontre.
"Le Cercle mérite sa victoire. On a essayé de diminuer leur force d'impact en cherchant les espaces dans leur dos. On n'a cependant pas eu beaucoup de réelles occasions, parce que dans la dernière passe, ou dans le dernier contrôle, il manquait toujours quelque chose."
Le vent a méchamment tourné au Mambourg
Éliminés de la Coupe de Belgique après avoir subi une débâcle au Patro Eisden, les Zèbres sont désormais 13es de Pro League, avec un bilan de 14/39. Avant d'entamer sa folle spirale négative, Charleroi était installé dans les Play-Offs 1.
"Il y a un mois, tout le monde disait que Charleroi jouait bien au football et que leur coach était incroyable. Peut-être que c'était même l'un des meilleurs en Belgique. Maintenant, on dit que Charleroi a une équipe et un entraîneur de merde (sic.). C'est comme ça que ça marche dans le football."
Rik de Mil a pourtant tout tenté, quitte à redonner une chance à l'indésirable Nikola Stulic, alors qu'un certain Grejohn Kyei, arrivé en prêt du Standard, n'avait même pas été sélectionné. "J'ai quatre attaquants, je ne vais pas tous les sélectionner. Je regarde seulement les entraînements, et par rapport à ce que j'ai vu, j'ai fait mon choix", a conclu De Mil. Décidément, l'attaquant français ne convainc nulle part...
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